KABYLIE (TAMURT) - Chaque 5 juillet le chef d'Etat algérien décrète une grâce présidentielle en faveur d'un bon nombre de prisonniers condamnés par la justice. Selon un avocat des détenus politiques kabyles, qui a été informé par le procureur du tribunal de Tizi Ouzou, "la grâce présidentielle du 5 juillet ne concernera pas les détenus politiques kabyles".