 – Alors que le rendez-vous électoral pour les prochaines législatives, en Algérie, est encore loin, en 2026, le parti du FFS, dirigé par Youcef Aouechiche, annonce d'ores et déjà sa participation. C'est à l'occasion de la commémoration de la 62 anniversaire de la création du FFS, dans un meeting populaire tenu samedi au théâtre régional de la ville de Tizi Ouzou, que la participation du FFS au législatives a été annoncée de manière directe.){kind=link}
KABYLIE (TAMURT) – Alors que le rendez-vous électoral pour les prochaines législatives, en Algérie, est encore loin, en 2026, le parti du FFS, dirigé par Youcef Aouechiche, annonce d’ores et déjà sa participation. C’est à l’occasion de la commémoration de la 62 anniversaire de la création du FFS, dans un meeting populaire tenu samedi au théâtre régional de la ville de Tizi Ouzou, que la participation du FFS au législatives a été annoncée de manière directe.
« Nous allons continuer notre projet de gauche pas seulement au niveau local, mais aussi a travers des assemblées élues nationales », laisse entendre le premier secrétaire du FFS, devant une foule composée que d’élus et certains de leurs proches. Le FFS, parti kabyle depuis 1963, s’inscrit ces dernières années dans l’agenda du régime en place en participant à toutes les échéances électorales, y compris les présidentielles.
Des participations qui lui ont valu de vives critiques en Kabylie, surtout de la part des militants de base du FFS. Tout le monde sait que les élections sont systématiquement truquées en Algérie et les partis obtiennent des strapontins négociés avec la sécurité militaire, bien avant le début des élections. Tout ça, pour un semblant de démocratie en Algérie. Des comédies électorales.
Pour le RCD, l’autre parti kabyle, il semble que pour les élections locales la tendance soit à la participation, mais concernant les législatives le parti ne s’est pas encore exprimé.
Idir Yatafen