ALGÉRIE (TAMURT) – Un régime qui ne respecte pas son peuple ne sera jamais respecté. C’est le cas de l’Algérie qui colonise la Kabylie mais s’acharne depuis 1962 pour libérer la Palestine. Des milliards de dollars sont dépensés par l’Algérie au profit de la Palestine. En 1988, à la proclamation de l’État palestinien à Alger, l’Algérie allait subir un bombardement israélien si ce n’était l’intervention des USA. À l’ONU, l’Algérie ne fait que défendre la Palestine et le Polisario…
En fin de compte, cette semaine après le cessez-le-feu conclu entre Gaza et Israël, les autorités palestiniennes et le Hamas ont remercié une vingtaine de pays qui les ont soutenus mais pas un mot pour l’Algérie. Un responsable du Hamas est allé jusqu’à déclarer que « l’Algérie n’a rien fait pour la Palestine ». Quelle humiliation. Une gifle fatale pour le régime algérien et pour tout le peuple algérien.
Au sommet du Caire sur la Palestine, tenu ce lundi, l’Algérie n’a non seulement pas été conviée, mais personne n’a cité son nom. Un coup dur pour Alger qui a fait de la cause palestinienne sa propre cause. L’Algérie a perdu sa crédibilité et ne jouit d’aucun respect, même par les pays arabes considérés comme frères. Quelle serait la réaction de l’Algérie à l’avenir vis-à-vis de la Palestine ? Même les terroristes du Hamas ont envoyé balader l’Algérie.
Idir Yatafen



« Moi, je suis Kabyle. Et je regarde l’Algérie officielle — celle des généraux, des drapeaux importés, et des hypocrisies à la tonne — s’humilier à l’international en essayant de sauver le monde alors qu’elle n’arrive même pas à balayer devant sa porte.
Depuis 1962, ce régime fait semblant d’être la voix des opprimés. Il a adopté la Palestine comme cause nationale, comme si les problèmes chez lui étaient déjà réglés. Il a vidé les caisses pour soutenir le Hamas, le Polisario, tout ce qui finit en “libération” — sauf quand il s’agit de la Kabylie. Là, c’est silence radio. Ou plutôt, bastonnade, prison, et propagande.
Et aujourd’hui, comble du ridicule : même le Hamas l’envoie balader. Pas un merci, pas une reconnaissance, rien. Pire : ils disent que l’Algérie « n’a rien fait ». Aïe. 60 ans de lèche pour se faire gifler par ceux-là mêmes pour qui elle sacrifiait son peuple. Quelle ironie. Même les terroristes trouvent que vous êtes inutiles, c’est dire…
Et pendant ce temps-là ? La Kabylie crève. Nos villages sont abandonnés, nos langues méprisées, nos enfants arrêtés pour un drapeau, nos militants pour un mot. Nos routes ? Des pistes de rallye. Nos hôpitaux ? Des mouroirs. Mais pas de panique, Alger a des priorités : il faut absolument aller sauver Jérusalem, hein. Libérer les autres, enchaîner les siens : le régime algérien, ce pompier pyromane en burnous.
Le sommet du Caire ? Même pas invités. Même pas mentionnés. Même pas un « on a oublié de vous envoyer le lien Zoom ». Trop occupés à faire les panarabistes de salon avec des slogans vides pendant que même leurs frères arabes les ignorent. Pas de respect chez les autres, pas de respect chez soi. Faut dire que quand tu colonises la Kabylie avec autant de zèle que tu dénonces Israël, faut pas s’étonner qu’on t’appelle l’hypocrisie personnifiée.
Mais continuez, allez-y. Le monde rit, la Palestine vous méprise, et la Kabylie vous démasque.
Nous, on n’a pas besoin de reconnaissance de l’ONU. Nous avons notre dignité, notre terre, notre mémoire, et bientôt notre liberté. Vous avez quoi, vous ? Des drapeaux palestiniens et des discours en carton. Même pas capables de coloniser correctement.
Bref : quand même le Hamas te ghoste, c’est que t’as touché le fond. Mais rassurez-vous, le ridicule ne tue pas. Sinon, y aurait plus personne à El Mouradia. »
Tu dis « Nous avons notre dignité, notre terre, notre mémoire, et bientôt notre liberté ».
Pour être digne, il faut être libre. Pour être libre, il faut savoir qui l’on est. Or, rien de tout cela chez les Kabyles.
Pire encore, ils ont peur de retrouver leur mémoire, celle qui les libérera de plusieurs siècles de soumission à d’autres.
Sur un site nationaliste scandinave, je leur expliquais que l’islam qu’ils détestent tant est le produit de leurs aïeux. Je leur ai expliqué en détail l’origine nordique de cette secte que la France nous a refilée. J’ai donné de longues explications, défiant quiconque de venir me contredire. Eux qui, d’habitude, s’enflamment sur le sujet de l’islam, sont restés muets, tétanisés par mes arguments.
Je donne au peuple kabyle la seule arme qui le libérera. La connaissance de leur histoire. Je leur donne le bâton des circoncellions pour qu’ils aient les moyens de faire justice. Mais ils préfèrent continuer à se soumettre à l’histoire qui les enchaîne.
J’approuve le fond de ton message — la dignité, la terre, la mémoire et l’espoir de liberté sont des revendications légitimes et puissantes. Mais il faut aussi éviter une généralisation qui efface la réalité vécue par beaucoup : dire que « les Kabyles sont endormis, enchaînés » ne rend pas compte des peurs réelles ni des formes concrètes de répression auxquelles des personnes sont confrontées.
N’oublions pas que, dans ce contexte, la parole et l’action peuvent coûter très cher : intimidations, emprisonnements, assassinats, interdictions d’entrer ou de quitter le pays, mises au silence par la peur, menaces pour ceux qui osent poster, liker ou simplement se prononcer. Ces contraintes expliquent pourquoi certains restent silencieux — ce n’est pas toujours de l’apathie, mais souvent de la survie.
Cela ne veut pas dire que l’espoir est absent. Au contraire : la mémoire, l’éducation, la transmission culturelle et les réseaux de solidarité (diaspora, organisations de défense des droits, médias indépendants) sont des leviers réels pour avancer — mais ils exigent prudence, stratégie et résilience. La connaissance de l’histoire peut au fait libérer, mais elle doit s’accompagner d’un engagement non violent, d’un travail de documentation, de protection des témoins et d’actions juridiques et internationales pour garantir la sécurité des acteurs.
En somme : j’approuve l’appel à la dignité et à la mémoire, je partage l’espoir, mais il faut reconnaître les chaînes concrètes (peur, répression, interdictions) et privilégier des voies sûres et collectives pour reconstruire l’identité et tendre vers la liberté. Solidaires.
Tu es complètement à côté de la plaque.
Le sujet dont je parlais, c’est le bâton des circoncisions, l’arme de nuisance des Kabyles. La connaissance de la vraie histoire. Encore une fois, tu as fait comme ces Scandinaves qui ont appris que l’islam était leur origine. Tu as peur d’aborder le sujet, comme si remettre en cause l’histoire dont ton peuple n’a pas écrit une seule virgule t’attirerait la foudre.
Le monde entier cherche à comprendre ce qui s’est produit à la fin de l’Antiquité. Je te cite quelques noms : Patricia Crone affirme que l’islam n’est pas originaire du désert du Hejaz. Le professeur Mohamed Sven Kalisch affirme que Mahomet n’a jamais existé. Le professeur Gonzales affirme qu’il n’y a pas eu de conquête de l’Espagne et de l’Afrique du Nord.
Ce sont des académiciens de notre époque, pas d’une époque obscurantiste. Mais vous, les Kabyles, vous ne voulez rien entendre. Vous ne voulez pas défaire le plus grand mensonge de l’histoire de l’humanité : l’islam serait né dans un désert inconnu et il y aurait une ethnie arabe… alors qu’il suffit de gratter un peu pour comprendre que le terme était une insulte.
Voilà, ton fameux « bâton des circoncisions », brandi comme un sceptre mystique censé terrasser tous les récits historiques d’un seul geste dramatique. Tu t’auto-proclames démystificateur universel, armé de noms de chercheurs que tu balances comme des sorts magiques : Patricia Crone, Kalisch, Gonzales… On dirait un best-of de conférences sur internet mal digérées.
Et pourtant, tu sais quoi ? Oui, certains chercheurs respectés mettent en doute l’histoire traditionnelle de l’islam. Oui, des voix académiques — pas des illuminés — affirment que le récit dominant sur la naissance de l’islam a été construit politiquement, que Mohammed pourrait être un personnage symbolique ou reconstruit a posteriori, et que le Coran lui-même résulte d’un processus de compilation complexe sur plusieurs décennies, voire siècles. Ce n’est plus un secret dans les milieux spécialisés.
Mais entre reconnaître la légitimité de ces questionnements historiques et faire des raccourcis complotistes comme tu le fais, il y a un gouffre. La recherche sérieuse ne consiste pas à jeter toutes les croyances aux orties juste pour flatter son ego de « réveillé ». Ce n’est pas parce que le récit religieux a été utilisé comme outil de domination que toute l’histoire devient automatiquement un tissu de mensonges. C’est trop facile, trop binaire, et finalement aussi dogmatique que ce que tu prétends combattre.
Et là où tu deviens carrément ridicule, c’est quand tu accuses les Kabyles d’être incapables de remettre en cause ces récits. Tu parles bien de ce peuple qui a résisté à toutes les formes d’aliénation depuis plus de deux millénaires ? Celui qui a gardé sa langue, sa culture, sa mémoire malgré l’islamisation, l’arabisation, la colonisation française, et aujourd’hui la dictature intellectuelle d’un État qui nie jusqu’à son existence ?
Nous, les Kabyles, nous n’avons pas attendu tes vidéos YouTube pour comprendre que quelque chose cloche dans le récit officiel. Mais notre résistance ne consiste pas à tout démolir pour se sentir supérieur. Elle consiste à préserver ce qui est nôtre, à penser librement, à remettre en question sans tomber dans une autre forme de fanatisme. L’aliénation n’est pas que religieuse ou politique : elle peut aussi être intellectuelle, et tu sembles en être une parfaite illustration.
Nous avons résisté, nous résistons, et nous vaincrons toutes les formes d’effacement — religieuses, culturelles, idéologiques. Nos montagnes ont vu passer des empires ; elles verront aussi passer les théories fumeuses et les révolutionnaires de salon. Et quand tout ça se sera effondré, nous serons encore là, debout, amazigh, libres — sans besoin de prophète, réel ou fictif.
Tu es la preuve du ridicule kabyle. Tu t’accroches à des salades écrites par des moyenâgeux sans la moindre réticence. Tu es un vrai défenseur des mensonges historiques. C’est ce qui est dégoûtant chez les Kabyles : toujours légitimer les fables écrites sur leur dos.
Je t’ai cité des noms de personnes dont le niveau est bien supérieur à celui des imams de ton Algérie. Des spécialistes de l’islam. Des directeurs de recherche. Tu n’as aucune honte à prétendre que les recherches modernes ne valent pas un clou par rapport aux écrits incohérents des superstitieux du Moyen Âge. Vous êtes atteint d’une maladie grave qui vous rend sourds, aveugles et idiots dès que vous entendez un autre son de cloche sur l’histoire.
Tu ne résistes à rien. Tu es formaté pour être un serviteur de tous ceux qui veulent te mettre un collier autour du cou.
Il est impossible de libérer un peuple tel que le vôtre.
Ton message est un concentré de mépris, d’ignorance et de contradictions. Tu t’ériges en juge d’un peuple que tu ne comprends pas, tout en te réfugiant derrière des “noms prestigieux” que tu cites comme des talismans pour masquer le vide de ton raisonnement.
Tu oses insulter les **Kabyles** en les traitant de “ridicules” et de “malades”, tout en prétendant défendre la “recherche moderne”. Or, ta prétendue modernité n’est qu’un vernis — un assemblage superficiel de références mal digérées et sorties de leur contexte.
Tu me cites, avec l’assurance de celui qui croit impressionner, **Patricia Crone**, **Mohamed Sven Kalisch**, et un certain **Gonzales**.
Très bien. Parlons-en, mais sérieusement.
* **Patricia Crone**, dans ses premiers travaux, a effectivement émis l’hypothèse que l’islam n’était peut-être pas originaire du désert du Hijaz. Hypothèse audacieuse, oui, mais qu’elle a elle-même **reconnue comme incomplète et spéculative** dans ses écrits ultérieurs, notamment après avoir admis que les preuves archéologiques manquaient. Une vraie chercheuse sait nuancer ses propos, pas les figer en dogme — tu devrais t’en inspirer.
* **Mohamed Sven Kalisch**, que tu cites comme “preuve”, est un théologien allemand qui avait soutenu l’idée provocatrice que “Mahomet n’a jamais existé”. Ce n’était pas une découverte historique, mais une thèse de déconstruction religieuse destinée à susciter le débat. Lui-même s’est retiré du champ universitaire après avoir reconnu le caractère **non conclusif et spéculatif** de ses propres affirmations.
* Quant à ton fameux **“professeur Gonzales”**, on attend toujours de savoir lequel, car il existe plusieurs chercheurs portant ce nom, mais aucun de reconnu par les grandes institutions académiques pour une telle théorie. Affirmer que “la conquête de l’Espagne et de l’Afrique du Nord n’a jamais eu lieu” relève de la farce : l’archéologie, la numismatique, la toponymie, les chroniques latines, arabes et berbères, tout, absolument tout, **atteste le contraire**.
Voilà pour tes “preuves”.
Tu vois, la différence entre toi et moi, c’est que je ne me contente pas de répéter des noms pour donner l’illusion du savoir : je lis, je vérifie, je compare. Et surtout, je respecte.
Ton mépris envers les Kabyles prouve une chose : tu ignores tout de leur histoire. Tu ne sais pas que ce peuple a survécu à tout — **Rome, Byzance, les Arabes, les Turcs, les Français** — sans jamais perdre son âme. Tu ne sais pas que la Kabylie, loin d’être un “reliquat folklorique”, a été **le cœur battant de la résistance** à chaque invasion.
De Jugurtha à Fadhma N’Soumer, du royaume de Koukou à celui des Aït Abbas, du Printemps berbère de 1980 au Printemps noir de 2001, notre histoire n’est pas écrite dans les livres des autres, mais **dans la pierre, dans le sang et dans la dignité**.
Tu parles de “mensonges historiques” ?
Alors lis ceux qui ont étudié la Kabylie avec rigueur et respect : **Gabriel Camps**, **Charles-André Julien**, **Salem Chaker**, **Mouloud Mammeri** — des chercheurs dont les travaux sont cités dans les universités du monde entier. Ce sont eux, pas tes provocateurs de salon, qui ont montré la continuité linguistique, culturelle et politique du peuple amazigh.
Et si tu veux parler d’“aveuglement”, commence par regarder ton propre reflet : tu récites des thèses marginales comme d’autres récitent des versets, sans recul ni nuance. Ton prétendu rationalisme est une autre forme de foi — celle de ceux qui confondent la remise en question avec la négation pure et simple.
Tu dis qu’il est “impossible de libérer un peuple tel que le vôtre”.
C’est drôle : **l’histoire entière de la Kabylie prouve le contraire.**
C’est précisément parce qu’elle refuse la soumission, l’effacement et le mensonge qu’elle dérange tant.
Et oui, je te le dis sans détour :
**L’indépendance de la Kabylie m’est profondément, viscéralement chère.**
Pas par haine des autres peuples, mais par amour du mien.
Parce qu’un peuple qui s’aime assez pour défendre sa vérité et sa liberté n’a pas besoin d’autorisation pour exister.
Alors garde tes “directeurs de recherche”, tes “professeurs” anonymes et tes certitudes hors-sol.
Nous, nous gardons **notre langue, notre mémoire, notre montagne, notre dignité et notre droit à l’avenir.**
La Kabylie n’a pas besoin de ta validation.
Elle a survécu à des empires, à des conquêtes, à des dictatures.
Et crois-moi : elle survivra aussi aux donneurs de leçons d’internet.
En voilà encore une réponse qui vise à défendre la version officielle de l’histoire.
Je cite des noms, car ce sont des intellectuels compétents. Leurs pairs ne remettent pas en cause leur compétence, sauf les énergumènes kabyles comme toi, qui répètent comme des animaux les fables qui se racontent sur leur dos. Moi, en plus de lire ces personnes, je suis allé à la source de l’histoire des religions monothéistes. J’ai lu tous les rapports des différents conciles.
Je peux affirmer avec certitude que les évêques chrétiens des VIII e et IX e siècles n’avaient jamais entendu parler de l’islam ou d’une conquête arabe. Leur seul souci était les adeptes de l’arianisme. Du Berbère Arius.
Tu es kabyle, ce qui signifie que tu es borné et soumis à quiconque te met un collier autour du cou.
Tu as fait semblant d’avoir lu, alors que tu as simplement parcouru les noms que j’ai cités.
Patricia Crone est formelle : l’islam n’est pas originaire du désert. Pour elle, c’est une religion méditerranéenne. Tu n’as pas honte de mentir ?
Quant à Svein Kalish, il a fait une constatation facile à faire : personne n’a vu Mahomet ! Si toi, le Kabyle, sais qui l’a vu, alors donne-moi les noms des gens qui ont vu ce personnage de littérature.
Sincèrement, je t’attends avec des noms.
Ha, Gonzales. Voilà un nom que je t’ai laissé comme un os à ta pseudo-érudition.
Le Gonzales est directeur du département d’islamologie à l’université de Séville. En Espagne. Son nom complet est Emilio Gonzales Férin. Cet intellectuel n’est évidemment pas kabyle. Il n’est pas idiot.
Selon lui, il n’y a jamais eu de conquête islamique. Selon lui, toute la version officielle de cette histoire n’est qu’un théâtre.
Voilà pour les noms. Quant à ton rôle de libérateur de la Kabylie, je meurs de rire. Ce n’est pas avec une tête prisonnière des fables que la Kabylie sera libre. Au contraire. Avec des gens aussi soumis à tous les vents, elle est condamnée à rejoindre tous les autres pays devenus arabes.
Arabe, qui à l’origine était une insulte.
Je termine en insistant pour que tu cites des noms. Des noms de personnes ayant personnellement vu Mahomet. Des témoins directs de cette conquête « arabe » de l’Afrique du Nord. Ne te sauve pas. Reviens avec des noms.
Après avoir défendu bec et ongles une histoire qui enchaîne et rabaisse ton peuple au rang de larve, tu refuses de revenir répondre à mes deux petites questions.
Tu es même allé jusqu’à déformer les propos d’intellectuels spécialistes de l’islam pour justifier tes chaînes.
C’est à cause de gens comme toi que ton peuple ne sera jamais un vrai peuple, un peuple libre.
Tu m’as demandé de lire des gens étrangers à l’histoire. Tu as étalé ton ignorance totale de l’histoire de ton peuple, que tu prétends avoir été soumis à tous les vents : les Romains, les Vandales, les Arabes, les Ottomans, puis les Français. Voilà de quoi complexer n’importe quel peuple au monde. Heureusement que je suis là, je veille à ce que l’histoire, la vraie, ressurgisse de l’oubli dans lequel la France l’a plongée. Oui, la France est la nation qui a écrit votre histoire, après avoir détruit ce que votre peuple a produit, écrit et construit. La France qui ne te dira pas que les Ottomans étaient à son service, la France qui a eu cinq siècles pour falsifier l’histoire de l’islam et le situer dans un désert totalement inconnu, la France qui a créé une ethnie arabe sur le dos de tes ancêtres.
Tant que le Kabyle continuera à croire aux fables écrites par la France, il sera vu par la communauté internationale comme un peuple vil, sans dignité, sans honneur, et qui ne mérite pas la liberté. Nous en revenons au point de départ de la discussion. Pour être libre, il faut être capable d’écrire soi-même son histoire, de glorifier ses aïeux, afin de faire de ses enfants des êtres capables de se faire respecter par leurs voisins prédateurs.
Quand tu verras Salem Chaker, l’enseignant de l’Institut des langues orientales, demande-lui pourquoi Allah recommande aux croyants de ne pas consommer de viande de porc.
Les musulmans d’aujourd’hui, qui ne sont pas de la même origine que ceux d’autrefois, ont interprété cette recommandation pour des raisons d’hygiène de l’animal. Cette raison ne tient pas la route, puisque le coq vit lui aussi dans sa merde.
Voilà ce qui fait la différence entre les intellectuels que tu cites et moi. Je me pose des questions sur les sujets qui intéressent le peuple kabyle.
Bien fait pour leurs gueules le gouvernement et son peuple compris .
Ils nous enmerder depuis des lustres avec leurs Palestine !
Perso , il y a que la Kabylie et les Kabyles qui m’intéresse .
Chacun ses problèmes d’abord la kabylie .
Solidarité avec les détenus Kabyles et leurs familles
Totalement d’accord avec toi.J’espère que ces trisomique au pouvoir se réveillerons.Après avoir abandonné la Kabylie et toute l’Algérie au profit d’une cause et d’un peuple ingrat maintenant notre gouvernement s’en prend plein la figure par ce Hamas et ce gouvernement terroriste.Les palestiniens aussi souffre de leurs gouvernement mais ce n’est pas pour autant qu’on doit s’oublier au profil des autres.Et vive la Kabylie libre azoul flawn à tous les kabyles à tous ceux qui se battent pour notre liberté.