ALGÉRIE (TAMURT) – L’ennemi numéro 1 des Imazighen, le criminel Boukharouba dit Houari Boumediène, a voulu créer une « république arabe sahraouie » sur le territoire marocain amazigh en 1975. Ses successeurs ont tout fait pour concrétiser ce projet chimérique. Aujourd’hui, après un demi-siècle de financement aveugle du Polisario, la république arabe tant rêvée par Boumedienne et ses sbires tombe.
Le monde entier a reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Le Conseil de sécurité de l’ONU vient de voter une résolution historique en faveur du Maroc dans ce dossier créé de toute pièce par Boumediène. Le Sahara occidental est amazigh et restera éternellement amazigh sous la souveraineté marocaine.
L’Algérie a tout perdu dans cette affaire. Désormais, au Sahara occidental, le tamazight sera langue nationale et officielle, puisque c’est le cas au Maroc, qu’en déplaisent aux partisans du raciste Boumediène, en Algérie ou ailleurs. Le peuple sahraoui trouvera enfin sa liberté et connaîtra le développement sur tous les plans, après 50 ans de chantage du régime algérien.
Idir Yatafen



Des milliards de dollars pour les Sahraouis (au 500 milliards) , pour les Palestiniens Hamaz et les autres pingouins des causes perdues .Rien pour les Algériens, à part des barques pour fuir le Pays!
Le pire dans tous ça c’est les milliard de dollars vouer à la perte.Ils aurait au moins pu en faire profiter le peuple mais tous s’est volatilisé dans une cause perdus d’avance et sans intérêt.Si les sahraoui voudrait d’une indépendance ils l’aurait déjà eu le Maroc est un pays ou règne un certains nationalisme et attachement au roi qui unie le peuple.Par contre en Algerie tous le monde se déteste et cette haine fait partis du quotidiens des kabyle on subit depuis des années.C’est pour cette raison qu’on souhaite notre indépendance en tant que kabyle car notre communauté bosse et fait avancer l’Algérie dans tous les domaines.Seul on avancera plus vite même sans petrole ni gaz (qui d’ailleurs ne profite qu’au multinationale européenne et americano-sioniste).
Boukharouba… ce visionnaire de pacotille qui voulait transformer le désert en décor de propagande. Lui, le prophète autoproclamé d’un panarabisme sous perfusion soviétique, rêvait en 1975 d’une « république arabe sahraouie » — invention sortie tout droit de son laboratoire idéologique où la réalité passait en dernier. Le problème ? Ce rêve n’avait ni géographie, ni peuple, ni avenir. Un mirage politique, entretenu à coups de milliards de pétrodollars et de slogans criards.
Cinquante ans plus tard, le rideau tombe. La pièce est finie. Le public — le monde entier, y compris l’ONU — a sifflé la fin de la mascarade. Boumediène, du fond de son mausolée, doit se retourner dans son sarcophage de béton : sa « république arabe » n’aura jamais existé ailleurs que dans les fantasmes poussiéreux du FLN. Et pendant que ses héritiers s’enfoncent dans la paranoïa, c’est le Maroc qui trace sa route, sereinement, vers l’avenir.
L’Algérie, elle, a tout perdu : argent, crédibilité, temps, et surtout le sens du réel. On a voulu effacer l’Amazigh, on a fini par effacer la raison. On a voulu étouffer la diversité, on a bâti un musée de la rancune. Et aujourd’hui, quand le monde entier reconnaît la marocanité du Sahara, on voit le régime algérien se tordre comme un serpent dans sa propre poussière diplomatique.
Le Sahara est amazigh, oui — et il restera amazigh sous souveraineté marocaine. L’histoire a de ces ironies : voilà que la langue et la culture qu’Alger méprisait sont désormais langue officielle au Maroc… pendant qu’en Algérie, on continue de les bâillonner au nom d’un nationalisme fossilisé.
Boumediène voulait effacer le Maroc, il aura effacé l’Algérie de la carte du sérieux international. Un demi-siècle de diplomatie du vide, de mensonges recyclés, de chantages humanitaires, pour finir avec une résolution de l’ONU qui sonne comme un jugement dernier : « Jeu terminé ».
Et si les généraux veulent encore rêver d’un Sahara imaginaire, qu’ils le fassent, mais avec leur propre sable. Le Maroc, lui, construit, avance, et parle tamazight — pendant que les autres, coincés dans leurs années 70, continuent d’écouter l’écho de leurs défaites.
J’en suis ravi, des milliards de dollars gaspillés pour rien pour un pays fantoche de quelques Bédouins, le Maroc va faire un eldorado de ce désert.