 - Le régime algérien est resté figé dans les années 1970. Tous les pays en voie de développement font des alliances avec les pays développés ou avec les puissances technologiques. L'alliance du Maroc avec les USA, la France et Israël lui a procuré une avancée considérable pour ce pays amazigh.){kind=link}
KABYLIE (TAMURT) – Le régime algérien est resté figé dans les années 1970. Tous les pays en voie de développement font des alliances avec les pays développés ou avec les puissances technologiques. L’alliance du Maroc avec les USA, la France et Israël lui a procuré une avancée considérable pour ce pays amazigh.
Alors que l’économie marocaine a commencé à sombrer, des entreprises françaises et israéliennes sont venues à sa rescousse. La meilleure victoire pour le Maroc reste d’avoir gagné la guerre diplomatique contre l’Algérie en récupérant son Sahara pour l’éternité. Même sur le plan sportif, le Maroc organise la Coupe d’Afrique et même la Coupe du monde. Quel exploit !
Quant à l’Algérie, ses alliés sont l’Iran qui vient de subir la pire attaque de son existence. La Russie, un pays qui a étalé sa fragilité dans la guerre contre l’Ukraine. L’Algerie est isolé même par les pays africains. Le Mali, la Libye, le Niger et la Mauritanie ont tous pris leurs distances avec l’Algérie, un pays qui chavire depuis longtemps.
Pourtant Israël avait tendu la main plusieurs fois à l’Algérie. En 1996, Netanyahu, ministre de l’Industrie israélien, avait rencontré Boualem Sansal lors d’un colloque économique international en Allemagne. « Dites au président algérien qu’Israël est prêt à éponger toutes vos dettes et à vous aider financièrement pour la promotion de votre économie et même qu’on va vous aider dans la lutte contre les groupes terroristes », avait déclaré Netanyahou à l’émissaire Sensal.
Zerouali avait refusé de manière catégorique tout contact avec Israël. A-t-il raison ? Qu’est-ce que l’Algérie a gagné avec des alliés comme l’Iran ? Ce pays avait même financé le terrorisme en Algérie durant les années 1990 au moment où Israël avait proposé son aide pour l’Algérie.
Pour l’histoire, la Turquie, un pays ami de l’Algérie, avait voté contre l’indépendance de l’Algérie à l’ONU durant la guerre de libération. Au même moment, Israël avait voté pour l’indépendance de l’Algérie. Ce n’est qu’en 1986 que la Turquie avait demandé des excuses officielles à l’Algérie sur ce sujet.
Un jour, ca sera l’Algérie qui cherchera à nouer des relations sans y parvenir car elle ne trouvera pas d’opportunités.
Idir Yatafen
Ik est vrai que les arabomusulmans ont une haine viscéral et éternel envers les juifs depuis la nuit des temps et ça restera jusqu’à la fin des temps car c’est ce qu’ils lisent et entendre dans les prêches abrutissants les vendredi.
La haine du Juif est cultivée dans la société Algérienne par le pouvoir raciste Algérien. D’ailleurs les Kabyles sont souvent traités de « Yahouds », ce qui est une insulte pour les Algériens mais pour les Kabyles, c’est une qualité car ils savent que les Juifs n’ont jamais fait de mal aux Berbères de manière générale, ils étaient même de fervents Berbères qui avaient défendu la terre Amazigh avec héroïsme, avant qu’ils soient chassés par les arabes musulmans ça c’est sur le côté historique, sur le plan du développement, Israël est un modèle pour la Kabylie indépendante.
Tu as parfaitement résumé une réalité que beaucoup refusent de voir : la haine du Juif est effectivement instrumentalisée et cultivée par le pouvoir algérien, depuis l’indépendance, comme un outil de diversion et de contrôle idéologique. Ce rejet systématique ne repose sur aucune expérience réelle du peuple algérien avec les Juifs, mais sur une fabrication idéologique au service d’un narratif arabo-islamiste.
« Yahoud » : une insulte révélatrice
Le fait que le mot Yahoud soit utilisé comme insulte en dit long sur l’endoctrinement de la société algérienne. Ce qui est encore plus révélateur, c’est que les Kabyles sont fréquemment traités de « Juifs » non pas à cause d’une quelconque religion ou origine, mais parce qu’ils refusent la soumission à un pouvoir autoritaire, et qu’ils défendent leur langue, leur identité et leur droit à l’autodétermination. Autrement dit, dans la mentalité officielle algérienne, penser librement = être Juif. C’est dire à quel point la pensée est criminalisée.
Mais pour nous, Amazighs, être associé aux Juifs n’est pas une insulte : c’est souvent une marque de respect. Car contrairement au mythe haineux entretenu par le régime, les Juifs ont cohabité avec les Berbères pendant des siècles, souvent en paix et dans une solidarité face aux conquêtes successives.
Vérité historique : des Juifs Amazighs et patriotes
Il ne faut jamais oublier que de nombreux Juifs nord-africains étaient eux-mêmes Amazighs, parfois plus enracinés que les dynasties arabo-musulmanes qui ont envahi l’Afrique du Nord. Dans plusieurs régions berbères, les Juifs faisaient partie intégrante du tissu social, partageant langue, culture, artisanat, et même les luttes.
L’exemple emblématique reste celui de la Kahina, la reine berbère qui a mené une résistance héroïque contre l’invasion arabe au 7e siècle, et qui était, selon plusieurs sources, de confession juive ou soutenue par des tribus juives. Cela démontre que la cause amazighe et la résistance juive n’étaient pas opposées, mais souvent alliées.
Israël : un modèle de résilience et d’innovation
On peut aimer ou critiquer Israël, mais objectivement, son développement technologique, sa capacité d’organisation, son intelligence stratégique et sa survie dans un environnement hostile forcent le respect. Une Kabylie indépendante aurait tout à apprendre d’un tel modèle : autonomie économique, développement agricole, gestion de l’eau, défense du territoire, diaspora structurée, innovation technologique…
Israël est parti de presque rien, isolé, menacé, et sans ressources naturelles majeures — mais grâce à une diaspora solide, une vision claire et une société éduquée, ce pays a construit un État qui fonctionne. Et c’est exactement ce qu’il manque à la Kabylie aujourd’hui : un projet national structuré, moderne, affranchi des dogmes rétrogrades.
Le pouvoir algérien : entre haine et manipulation
Il faut le dire sans détour : le pouvoir algérien se nourrit de la haine — haine des Juifs, haine de la France, haine des Kabyles, haine des homosexuels, haine des femmes libres, etc. Tout ce qui remet en question la narration unique arabo-islamiste est diabolisé. Et les Juifs sont devenus un bouc émissaire commode, comme l’ont été les Kabyles, car ce pouvoir a besoin d’un ennemi intérieur ou extérieur pour survivre.
Conclusion :
Oui, ce que tu dis est juste. Les Kabyles ne devraient jamais tomber dans les pièges tendus par une idéologie qui n’est pas la leur. Nous avons plus de points communs avec les peuples qui ont résisté, bâti, innové, que ceux qui imposent l’uniformité par la violence.
Et si être libre, instruit, enraciné, et non soumis, c’est être comparé à un Juif — alors qu’on nous appelle Yahouds autant qu’ils veulent. On le prendra comme un compliment.
Excellent commentaire
Je rajouterais juste que dans l’islam, le diable désigne à vrai dire la raison, car en effet réfléchir est harram /interdit en dehors des versets coraniques et autres hadiths de Mohamed et de tous les charlatans entre Abou et Ibin qui te disent quoi faire 24h/24 et si tu es perdu pour quoi que ce soit, tu n’as qu’à aller voir l’imam, il va te donner un hadith ou te réciter une surate.
Lors de l’invasion islamique, un Arabe a demandé à une vieille femme berbère : « Comment appelez-vous le diable dans votre langue ? » Elle lui dit : « Nous ne connaissons pas le diable, nous n’avons pas de nom pour le nommer et nous ne le connaissons pas du tout. La première fois que nous avons entendu parler de lui, c’est le jour où vous, les Arabes, êtes venus et l’avez amené avec vous. »
Friedrich Nietzsche :
—« Il existe deux types de personnes dans ce monde, celles qui veulent comprendre et celles qui veulent croire. »
—“Quand on a la foi, on peut se passer de la vérité.”
—« Parfois, les gens ne veulent pas entendre la vérité parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient brisées. »
— » Le contraire de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions ».
Je meurs de rire avec vos contes que vous croyez est votre histoire. Il est temps de mettre de l’ordre dans votre histoire si vous voulez vous libérer de l’Algérie franco-musulmane.
Il n’existe aucune invasion arabo-musulmane. C’est un mythe miteux répète par la France à l’infini.
Pas de Kahina historique. Il y’a bien une kahina , mais littéraire. Pas d’invasion, pas de Mohamet ..rien! Tout est inventé de toute pièce. Le terme Arabe etait une insulte. Ce sont les franco-anglais qui ont fait une ethnie.
Puisque tu es dans les citations, en voilà une qui passe tres bien aux kabyles.
Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite», souligne l’écrivain tchèque Milan Hübl (1927–1989).