DRAA EL MIZANE (TAMURT) – La cité EPLF de la ville de Draa El Mizane, 60 km vers le sud de la ville de Tizi Ouzou, est emportée par un glissement de terrain qui ne cesse pas de se propager. Les dernières précipitations qui ont touché la région n’ont fait qu’empirer la situation déjà dramatique.
C’est toute la ville de Draa El Mizane qui est menacée par ce maudit glissement qui a détruit des immeubles entiers. Les habitants de cette ville sont sous le choc devant les affaissements et les mouvements de terre. Le problème n’a pas été pris au sérieux ni en charge à temps, accusent les habitants de la localité, qui pointent du doigt les autorités locales et les élus de n’avoir rien fait.
Que faire maintenant ? Les dégâts sont énormes. Ils sont ses centaines de citoyens à voir leurs immeubles partir en quelques minutes. Des élus APW se sont rendus sur place la semaine passée pour constater les dégâts. Un élu local dit qu’un bureau d’études spécialisé étranger est contacté pour voir comment prendre en charge ce phénomène naturel qui détruit plusieurs localités de Kabylie, sans donner plus de détails. À vrai dire, personne ne sait quoi faire devant l’ampleur des dégâts.
Notons qu’en 2012, un gigantesque glissement de terrain avait déjà détruit une partie de la ville d’Iazouguen, à l’est de Tizi Ouaou. Un autre glissement menace à ce jour la ville de Michelet en Haute-Kabylie.
Idir Yatafen
Il est inquiétant de constater que dans certains contextes professionnels, notamment dans les domaines du génie civil, de l’architecture et de l’urbanisme, les pratiques scientifiques et techniques rigoureuses sont parfois reléguées au second plan.
Là où l’on devrait mobiliser des compétences pointues : formules mathématiques avancées, calculs de résistance des matériaux, modélisations environnementales, études géotechniques, analyses de faisabilité ou encore simulations numériques… on assiste à une approche quasi mystique du métier.
Certains ingénieurs ou professionnels substituent ainsi la rigueur scientifique à des expressions de foi comme « Bismillah », « Incha’Allah » ou « Bi idhni Allah », utilisées non pas comme inspiration ou accompagnement spirituel, mais comme des « formules » de travail en soi.
Le résultat ? Des projets mal conçus, des constructions fragiles, des infrastructures défaillantes, et parfois, des drames humains. Et lorsque survient la catastrophe – effondrement, inondation, instabilité du sol ou toute autre conséquence prévisible d’une mauvaise planification – la seule réponse devient : « Allah ghaleb », comme si le destin était seul responsable de ce qui relève en réalité d’un manque de professionnalisme.
Cette mentalité est non seulement dangereuse, mais elle mine également la crédibilité de professions qui, à la base, reposent sur des sciences exactes, sur la méthode, sur la rigueur et sur l’éthique. La foi peut et doit inspirer le sens du devoir, de l’excellence et de la responsabilité. Mais elle ne peut en aucun cas remplacer l’expertise
Voilà le résultat de l’urbanisation anarchique et expresse de la part du gouvernement terroriste d’Alger en construisant des immeubles sur des terres agricoles KABYLE.
De plus C est pour les populations importée en Kabylie ( majoritairement arabophone) .
Détruire et désorganisé la société KABYLE voilà le seul projet de ses terroristes
AT DWAYA en force pour l’indépendance KABYLIE Kabyle et l’Algérie on s’en fout royalement