Archives quotidiennes: Avr 20, 2021

Marche du 20 avril : La démonstration de force des indépendantistes à Vgayet

VGAYET (TAMURT) - Rien ne semble arrêter la Kabylie dans sa marche vers le recouvrement de son Indépendance. La preuve a été donnée, ce mardi 20 avril, lors de la manifestation monstre commémorant le double anniversaire du printemps berbère 1980 et le Printemps noir 2001. En effet, des milliers de personnes, venues des quatre coins de la région de Vgayet, ont manifesté dans les rues de la ville de Bougie pour réclamer l’indépendance de la Kabylie.

Tizi Ouzou : les indépendantistes en force à la marche du 20 avril

TIZI OUZOU (TAMURT) – Les militants et sympathisants des mouvements souverainistes kabyles, dont l’URK et le MAK, étaient présents en force à la marche commémorative du 41ème anniversaire du printemps berbère qui s’est déroulée ce matin dans la ville de Tizi Ouzou.

La statue de Matoub inaugurée à At Douala

AT DOUALA (TAMURT) – Des centaines de personnes, venus d’un peu partout en Kabylie, ont pris part à la cérémonie d’inauguration des statues de Matoub Lounès et Imache Amar qui a eu lieu dans la soirée de lundi à mardi dernier à Ath Douala, région natale de ces deux héros de la région et de toute la Kabylie.

Abdennour Abdesselam à propos du printemps noir 2001 : « C’est l’expression d’une haine animale anti-kabyle »

Kabylie (TAMURT) – Dans un témoignage émouvant postée sur sa page Facebook, l’auteur et infatigable militant de la cause kabyle, Abdennour Abdesselam, a qualifié les crimes commis par le pouvoir algérien à travers ses gendarmes en Kabylie lors du printemps noir 2001 de « l’expression d’une haine animale » envers les kabyles. « Ce drame a été l’expression de la haine animale et inhumaine anti-kabyle (encore d'actualité) développée par les tenants du pouvoir qui ont assassinés lâchement et abjectement 128 jeunes kabyles», a-t-il écrit.

Feraoun/ Alors que le jeune Hamza est gravement malade, l’Etat algérien coupable de non-assistance à personne en danger

FERAOUN (TAMURT) - Alors que la vie d’Aissaoui Hamza, natif de Feraoun, ne tient qu’à un fil, le ministère de l’Intérieur algérien fait la sourde oreille quant à la demande pressante de la famille du malade sollicitant son transfert à l’étranger pour une prise en charge médicale adéquate.
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