Certains journalistes-correspondants ont fini par jeter l’éponge sans jamais percevoir un dinar, eux qui ont pourtant signé des conventions de 25 000 dinars par mois, mais sans couverture sociale. Certains d’entre eux sont des pères de famille et n’ont aucune autre source de revenus.
CULTURE (Tamurt) - Plus de cent ouvrages aux thèmes variés ont été proposés : histoire, poèmes, contes, littérature pour enfants, cuisine, enseignement de la langue etc...
Grand admirateur du père spirituel de la chanson berbère, le grand Slimane Azem, Matoub Lounes est devenu une icône de la jeunesse kabyle et un grand symbole à l’instar des : Feraoun, Mammeri, Djaout, Azem, Lhasnaoui, Kateb, Jean Amrouche et tant d’autres encore. Il est
simplement considéré comme un Che Guevara ou un Martin Luther King. Armé du vers, son unique arme, il disait tout haut ce que d’autres pensait tout bas.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Mais au-delà de toutes ces « normes » qui « entachent » une campagne, certains ont poussé l’outrecuidance jusque dans ses derniers retranchements et jusqu’à user tout simplement de cynisme, de fourberie, voire même de flagornerie.
CULTURE (Tamurt) - Né en 1949 à Tifrit, village situé près d’Akbou dans la vallée de la Soummam. Il fut jugé et condamné à mort en 1976 pour son militantisme avec d’autres camarades comme Cherradi Hocine, Medjber Smail, Nekkar Ahmed, Mohand Ousmaïl, Lounes Kaci, Bahbouh Lahcene, Hamadouche Ali, Achab Ramdane, Cherifi Ahcene et son frère Ali. Les années passées à Lambèse ont été les plus atroces. En 1976, sa mère, qui était partie pour lui rendre visite en prison mourut en cours de route victime d’un accident d’automobile. Gracié le 5 juillet 1987, il reprit son combat en joignant le Mouvement Culturel Berbère.