Voulant faire du bruit comme à l’accoutumée, Hamid Ferhat pondra un communiqué dans lequel il interpellera les formations politiques et la société civile pour les alerter sur les dangers qui guettent les libertés suite aux violations des lois de la république dont il rend responsable le pouvoir algérien qui est entrain de détruire la notion même de légalité, dira-t-il.
Depuis l’annonce de la décision de suppression du jeune avocat stagiaire et militant des droits de l’homme de Sidi bel Abbes, Youcef Benbrahim, par le bâtonnier de cette ville de l’ouest algérien, qui l’accuse de ne pas être musulman pour ne pas avoir pris part à un rassemblement de dénonciation du film « L’innocence de l’Islam », un vaste réseau de soutien et de solidarité s’est tissé à travers le monde pour dénoncer cette grave dérive.
Quand enfin l’espoir de l’un et les attentes des autres firent promesse d’épousailles, les participants à cette rencontre « voulue » comme « réunion de famille » se retrouvèrent autour d’une table pour une collation.
CONTRIBUTION (Tamurt) - Je pense que la politisation de la question amazighe s’inscrit dans une orientation contre productive. L’identité historique qui découle du combat identitaire appartient a tous les Algériens, je dirais même à tous les Amazighiens* Maghrébins-Nord Africains ? Pour comprendre cela, je vais développer un peu ma réflexion qui appelle cette réponse.