ALGER (TAMURT) – Le parquet près le tribunal de Chéraga (Alger) a requis, ce mercredi 05 octobre, une peine de deux ans de prison ferme et une amende de 50.000 DA à l’encontre de la présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Naïma Salhi. L’ex députée islamiste est poursuivie pour « atteinte à l’unité nationale » et « diffusion de publications racistes ». L’accusée s’est illustrée par des propos racistes contre la Kabylie et ses symboles.