 - A moins de quatre mois des élections présidentielles en Algérie, personne n'évoque ce sujet. Un silence total sur une échéance électorale aussi importante que la présidentielle. Ailleurs, et même naguère en Algérie, les débats des candidats et des partis politiques s'enflamment deux ans avant la date des élections.){kind=link}
ALGÉRIE (TAMURT) – A moins de quatre mois des élections présidentielles en Algérie, personne n’évoque ce sujet. Un silence total sur une échéance électorale aussi importante que la présidentielle. Ailleurs, et même naguère en Algérie, les débats des candidats et des partis politiques s’enflamment deux ans avant la date des élections.
En Algérie, c’est le silence radio à 128 jours de la date annoncée par le Gouvernement algérien pour tenir l’élection présidentielle. Pour le moment, Louisa Hanoune est la seule responsable d’un parti politique qui a annoncé sa participation aux présidentielles, mais tout le monde sait qu’elle jouera le rôle de figurant, comme à son habitude. Elle est présidente du parti des travailleurs depuis 35 ans, soit depuis 1989.
Une certaine Zoubida Assoul, connue sur la scène politique algérienne » Zoubida la cagoule », en référence a son ancien métier de juge durant les années 1990 lorsqu’elle jugeait dans des tribunaux spéciaux en portant une cagoule, aussi à déclaré sa candidature. Elle est un des sous-fifres du général Toufik.
Tebboune sera certainement reconduit dans une élection à la Soviétique. À vrai dire, un débat politique concernant une élection présidentielle en Algérie, ou une autre élection, ne sert à rien, puisque les résultats sont connus à l’avance. C’est toujours une caste de généraux mafieux qui décide de tout, en Algérie.
Idir Yatafen