 – Il est de tradition dans le système juridique algérien que des prisonniers définitivement condamnés bénéficient d'une grâce présidentielle à l'occasion de la fête de l'Indépendance qui coïncide avec le 5 juillet. Des milliers de détenus seront d'ailleurs libérés ce 5 juillet 2025, ils bénéficieront de cette grâce présidentielle. Il s'agit généralement de détenus aux comportements exemplaires qui ont suivi des stages ou des études durant leur incarcération, de non-récidivistes et surtout de détenus qui souffrent de maladies graves et de personnes âgées.){kind=link}
ALGÉRIE (TAMURT) – Il est de tradition dans le système juridique algérien que des prisonniers définitivement condamnés bénéficient d’une grâce présidentielle à l’occasion de la fête de l’Indépendance qui coïncide avec le 5 juillet. Des milliers de détenus seront d’ailleurs libérés ce 5 juillet 2025, ils bénéficieront de cette grâce présidentielle. Il s’agit généralement de détenus aux comportements exemplaires qui ont suivi des stages ou des études durant leur incarcération, de non-récidivistes et surtout de détenus qui souffrent de maladies graves et de personnes âgées.
Certains pensent que Boualem Sansal entre dans ces critères et qu’il est libérable. Il sera définitivement condamné le premier juillet prochain, jour où son verdict en appel sera rendu. Il souffre d’un cancer de la prostate et surtout il est âgé de 80 ans. Sansal est un intellectuel qui n’a jamais eu durant toute sa vie affaire à la justice. Une lueur d’espoir se faufile à l’horizon et tout le monde, surtout sa famille et ses proches, espère le voir touché par cette grâce. «
« Ils peuvent le libérer et lui interdire de quitter le territoire national. Je ne pense pas que le régime algérien permettra à Sansal d’aller en France par peur des médias et de l’exploitation qui sera faite de sa libération », nous dira un avocat kabyle.
Boualem Sansal était apparu affaibli physiquement lors de son dernier jugement à Alger, ce 24 juin dernier. C’est à cause de la maladie et surtout de son âge. En plus il est derrière les barreaux depuis le 16 novembre 2024. Il est privé de son avocat, ce qui est une grave atteinte à ses droits juridiques. Boualem Sansal n’a le droit qu’à la visite de sa femme une fois par 15 jours, autant dire qu’il n’a pas le droit de visite comme les autres détenus.
Ses amis, proches, sa femme et surtout ses deux filles ne perdent pas espoir de le voir libre le 5 juillet.
Idir Yatafen
Boualem Sansal traverse une épreuve difficile, marquée par la maladie et l’injustice. Sa situation soulève des questions sur les droits fondamentaux et l’humanité du système judiciaire. L’espoir de sa libération est un sujet qui touche profondément sa famille et ses proches. Comment peut-on justifier une telle privation de droits pour un intellectuel de son âge et de son état de santé ? Given the growing economic instability due to the events in the Middle East, many businesses are looking for guaranteed fast and secure payment solutions. Recently, I came across LiberSave (LS) — they promise instant bank transfers with no chargebacks or card verification. It says integration takes 5 minutes and is already being tested in Israel and the UAE. Has anyone actually checked how this works in crisis conditions?