 – La manière dont s’est tenu, ce jeudi 20 mars, le procès de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, au tribunal correctionnel de Dar El Beida (Alger), a fait réagir son avocat français François Zimeray. Celui-ci, à qui le régime algérien avait refusé le visa car étant aussi juif, a dénoncé un « procès fantôme ».){kind=link}
PARIS (TAMURT) – La manière dont s’est tenu, ce jeudi 20 mars, le procès de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, au tribunal correctionnel de Dar El Beida (Alger), a fait réagir son avocat français François Zimeray. Celui-ci, à qui le régime algérien avait refusé le visa car étant aussi juif, a dénoncé un « procès fantôme ».
Le procès tant attendu de Boualem Sansal s’est déroulé, ce jeudi, en catimini. La salle d’audience était presque vide. L’auteur du livre « Le Serment des barbares » s’est défendu tout seul devant la justice algérienne puisque son avocat français François Zimeray, qui est aussi juif, n’a pas pu obtenir de visa pour se rendre en Algérie. Dans un communiqué publié au terme de ce procès expéditif, Maître Zimeray a vivement critiqué la manière dont le procès s’est déroulé. « Un procès fantôme tenu dans le plus grand secret, sans défense, est incompatible avec l’idée même de justice. Cela confirme le caractère arbitraire de cette procédure et d’une détention aussi injuste que cruelle (…) », a-t-il dénoncé.
Cet avocat officiant au barreau de Paris a, en outre, rappelé que « les autorités algériennes ont fait obstacle à toute communication entre l’écrivain et l’avocat de son choix, lequel fut la cible d’une campagne haineuse dans les médias et réseaux sociaux algériens, et à qui le visa pour l’Algérie n’a jamais été accordé. » Plusieurs chefs d’accusation ont été retenu contre Boualam Sansal, dont « atteinte à l’unité nationale », « outrage à corps constitué (l’armée) », « atteinte à l’économie nationale et de détention de vidéos et de publications menaçant la sécurité et la stabilité nationale ».
Pour rappel, Me François Zimeray avait dernièrement saisi les organes compétents du Haut-Commissariat des droits de l’homme aux Nations unies, d’une plainte contre l’Algérie pour, entre autres, détention arbitraire de Boualem Sansal.
Lyes B.
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LE SORT DE SANSAL EMPIRÉ PAR L’ACHARNEMENT MÉDIATIQUE ET POLITIQUE ANTI-ALGÉRIE DES TROIS » EXTRÊMES » EN FRANCE.
Membre du groupe médiatiquo-politique d’extrême droite identitariste » Frontières « , Sansal était allé très loin dans les provocations et les conneries, de surcroît en remettant en cause la question territoriale. Ce qui, comme partout ailleurs dans le monde, relève de « » l’atteinte â l’intégrité nationale « ». Et en France même, des universitaires et des intellectuels d’envergure sont » mis en examen » pour leur positionnement situé aux antipodes de la ligne officielle. Dont deux scientifiques sont emprisonnés pour un fallacieux motif d’ « » Intelligence avec l’ennemi « » ….
LES TROIS EXTRÊMES AU SECOURS DE SANSAL
Sansal, leur » arabe acceptable, leur indigène de service, leur collaborateur chouchouté, celui qui a trahi (un harki donc) le pays naguère colonisé , qu’ils détestent obsessionnellemement, viscéralement.- 1. La Droite extrême (LR), – 2. L’Extrême droite (RN, etc.), – 3. L’Extrême centre (la Macron-ie, Bayrou, Attaï, etc.)…
Pour ces » trois extrêmes « , « » l’Algérie est une obsession « ». Son indépendance n’a jamais été » digérée » . Il s’agit d’un « » passé qui ne passe/ra pas « » ….
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