 – Ce mardi 12 septembre, l’ex président de la Jeunesse Sportive de Kabylie, Chérif Mellal, sera entendu dans le fond par le juge d’instruction près le tribunal Sidi M’hamed en charge de son dossier, a indiqué son avocat Me Soufiane Dekkal. Placé sous mandat de dépôt depuis huit mois, l’homme d’affaires kabyle a entamé une grève de la faim le 31 août dernier pour protester contre l’acharnement judiciaire qu’il subit depuis 2021.){kind=link}
ALGER (TAMURT) – Ce mardi 12 septembre, l’ex président de la Jeunesse Sportive de Kabylie, Chérif Mellal, sera entendu dans le fond par le juge d’instruction près le tribunal Sidi M’hamed en charge de son dossier, a indiqué son avocat Me Soufiane Dekkal. Placé sous mandat de dépôt depuis huit mois, l’homme d’affaires kabyle a entamé une grève de la faim le 31 août dernier pour protester contre l’acharnement judiciaire qu’il subit depuis 2021.
Il a fallu que l’ex président de la JS Kabylie, Chérif Mellal, entame une grève de la faim illimitée pour que la justice algérienne accepte enfin de le convoquer pour une audition dans le fond. En effet, il sera entendu, aujourd’hui mardi, dans une prétendue affaire de « blanchiment d’argent » montée de toutes pièces par les services secrets algériens, lesquels avaient d’ailleurs orchestré sa destitution illégale de la tête du club phare du Djurdjura. Poursuivi initialement pour « terrorisme » et « atteinte à l’unité nationale », Chérif Mellal avait bénéficié d’un non-lieu partiel concernant ces accusations farfelues. Désormais, il est uniquement accusé de « blanchiment d’argent ». Une affaire pour laquelle il a été mis en détention préventive depuis janvier 2023.
Dans un communiqué publié le 1er septembre courant, la famille du détenu a informé l’opinion publique de la décision de Chérif Mellal d’entamer une grève de la faim illimitée, qui « est un aboutissement d’un acharnement judiciaire qui a commencé le 16 septembre 2021.» La brigade de police de Tizi Wezzu lui a signifié alors qu’il était frappé d’une interdiction de sortie du territoire national et son passeport lui a été confisqué. Le mandat de dépôt de Mellal a été renouvelé pour la deuxième fois d’affilée sans qu’il ne soit entendu dans le fond.
La famille du détenu ne demande, ni plus ni moins, qu’une enquête « impartiale » pour faire la lumière sur cette affaire et le « respects de ses droits ». En vérité, Cherif Mellal, victime d’une cabale judiciaire et sécuritaire, paye fort son engagement infaillible à préserver l’identité kabyle de la JSK et son attachement à la cause berbère.
Lyes B.
Juger un ange…c’est commettre un blasphème pour les croyants, dont je ne suis pas.
C’est cette mafia qui doit être jugée…
L’état voyou sait comment punir injustement les braves kabyles qui refusent la compromission des lâches qui jouent son jeu de destruction et de tout ce qui symbolise la culture, l’esprit de liberté et de dignité de vrais kabyles.
Cherif Mellal est coupable de :
l’amour qu’il porte à la Kabylie ,d’aimer sa langue ,de ses valeurs, de tenter de rassembler autour cette équipe mythique et symbolique qui fait la fierté de tout un peuple voire l’Afrique . Vouloir redorez le blason de la JSK , c’est s’inscrire dans le combat émancipateur et identitaire animés par les kabyles de l’honneur et de la dignité à vivre libre en Kabylie avec ses us et coutumes.
Maintenant de vous l’avez écarté de la JSK pour votre sombre destin, tuer tout espoir de voir les kabyles unis autour de ce symbole rayonnant.
Le combat continue malgré tous les milliards utilisés depuis 62 pour anéantir tout espoir de renaissance. LIBEREZ mellal ! De tout cœur avec lui et sa famille.