Au lendemain du veto de la Russie et de la Chine au Conseil de sécurité sur un projet de résolution occidental qui menaçait le régime de Bachar al-Assad de sanctions, les déclarations de l'ambassadeur de Russie à Paris sur un retrait du pouvoir du président syrien ont semé la confusion.
Au lendemain du veto de la Russie et de la Chine au Conseil de sécurité sur un projet de résolution occidental qui menaçait le régime de Bachar al-Assad de sanctions, les déclarations de l'ambassadeur de Russie à Paris sur un retrait du pouvoir du président syrien ont semé la confusion.