KABYLIE (Tamurt) - Cette dynamique initiée par les « anciens » est appelée, selon les dires des uns et des autres, notamment Samir Bouakouir, à s’élargir aux jeunes, aux syndicalistes, aux artistes, aux intellectuels. On affirme déjà que sur les tablettes des frondeurs, comme Zenati, Kerboua, Mammeri, Bouhadef etc, des rencontres de proximité durant ce mois de ramadhan et au-delà, à travers plusieurs localités de la kabylie.