KABYLIE (Tamurt) - Lors de cette réunion, les responsables et dirigeants du mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie, ont aussi étudié plusieurs questions d’actualité qui ont été soumises à une analyse des plus minutieuses. Les responsables du MAK citent la multiplication des mouvements de protestation, signe d’un grand marasme : « la population locale se révolte chaque jour contre les autorités locales qui n’arrivent même pas à assurer le minimum pour eux».
MAROC (Tamurt) - Pourtant très attendu, le documentaire de Tahar Yami intitulé « Matoub Lounes, le combat éternel» a déçu plus d'un lors de sa projection, hier soir, à l'ouverture des travaux de la 6e édition du Festival international du film amazigh Issni N-ourgh à Agadir, édtition dédiée aux frères Targuis en lutte pour leur liberté. Tahar Yami, ancien directeur de la programmation à BRTV s’est contenté d’un « assemblage » d'images et de séquences vidéo usitées et surexploitées sur la Toile. Toutes les vidéos et les images du doc sont trimballées sur YouTube depuis des années», a indiqué un présent à la cérémonie. Le documentaire a fait l’objet de critiques acerbes, non seulement de la part des membres du jury, avons-nous appris, mais aussi du public, qui est resté sur sa faim, surtout qu’il s’attendait à voir en exclusivité des images du Rebelle. Le documentaire frise le ridicule en ce sens qu’il a un air de déjà vu, déjà entendu. « Ni travail cinématographique, ni technicité requise pour le cinéma », tel est le verdict, sans appel rendu par les spécialistes du septième art. « Même le passage de sa célèbre chanson D-aghuru a été amputé d'un passage où Lounes appelait à la décentralisation», a-t-on noté. Il s’agit d’une amputation censée plaire à certains, pour que le film ne soit pas censuré en Algérie. Yami, se serait donc seulement servi de la popularité du Rebelle, sans pouvoir épater. Accablant constat: Yami s’ajoute à tous ceux que se sont servis de cette icône de l’Amazighité pour se faire connaître.
Plusieurs ONG tunisiennes ont dénoncé, mercredi 26 septembre, les poursuites pour "atteinte à la pudeur" engagées contre une jeune femme violée par deux policiers,...
Aziz Ait-Amirouche pour Tamurt.info
Après une courte trêve, les gardes- communaux de Bouira, à l’instar de leurs homologues de Tizi Ouzou, sont revenus à la charge, en organisant un sit-in de protestation, devant le siège de la Wilaya de Bouira (Tuviret), durant la journée d'hier, mercredi, 26 septembre.
CULTURE (Tamurt) - Si depuis quelques jours tamazight est introduite à l’aéroport international d’Orly en France via la compagnie aérienne "Aigle Azur", qui annonce ses vols départs et arrivées etc, en tamazigt, une pétition vient d’être lancée sur le Net pour que cette même langue, en l'occurence tamaziɣt, soit intégrée dans le moteur de recherche Google.
AZAWAD (Tamurt) - La visite du président burkinabé et sont interpellation des autorités françaises sur la situation préoccupante de la situation au Mali, intervient après une probable décision d’intervention militaire des militaire Français au nord du Mali. Une option qui, semble-t-il écartée, vu les conséquences très graves qu’elle pourra engendrer. L’Azawad met en garde et avertit sur la délicatesse de cette option qui ne fera qu’empirer la situation au Sahel. « La guerre que les combattants du MNLA mènent contre les narco-terroristes, actuellement concentrés dans les centres urbains, dans le but à peine voilé d'utiliser la population civile comme bouclier humain, en fait un acteur incontournable de la stabilité de la région. En effet, une intervention militaire unilatérale de la CEDEAO exposerait cette population à un grand péril », prévient le responsable de l’Azawad.
AZAWAD (Tamurt) - La visite du président burkinabé et sont interpellation des autorités françaises sur la situation préoccupante de la situation au Mali, intervient après une probable décision d’intervention militaire des militaire Français au nord du Mali. Une option qui, semble-t-il écartée, vu les conséquences très graves qu’elle pourra engendrer. L’Azawad met en garde et avertit sur la délicatesse de cette option qui ne fera qu’empirer la situation au Sahel. « La guerre que les combattants du MNLA mènent contre les narco-terroristes, actuellement concentrés dans les centres urbains, dans le but à peine voilé d'utiliser la population civile comme bouclier humain, en fait un acteur incontournable de la stabilité de la région. En effet, une intervention militaire unilatérale de la CEDEAO exposerait cette population à un grand péril », prévient le responsable de l’Azawad.