ALGÉRIE (Tamurt) - Les Amazighes du Rif n’ont pas fait seulement que secouer le Makhzen, mais aussi le régime Algérien. Ce dernier semble avoir plus peur que l’autorité Alaouite. Des confrères du journal El Moudjahid mais aussi de l’APS nous ont informés que plusieurs dépêches sur les événements du RIF ont été annulées et non publiées par les organes de la presse officielle du régime d’Alger.
MAROC (Tamurt) - La ville d’Imzouren, dans la région du RIF, au Maroc, a été envahie toute la journée par une marée humaine. Une autre manifestation gigantesque a été organisé par les Amazighs. Les rues principales de la ville étaient bondées de monde. Des drapeaux Amazighs mais aussi de la République Rifaine, ont été brandis par les manifestants.
COMMUNIQUE (Tamurt) - Après la mort tragique du jeune marchand de poissons Mohsen Fikri le 28 octobre 2016 à Taghzut (Elhocima), broyé par une benne à ordures alors qu’il tentait de sauver sa marchandise jetée dans la benne par des policiers, la population de cette localité s’est massivement et spontanément soulevée pour exprimer sa solidarité avec la victime et sa famille mais aussi pour crier sa colère contre ce énième drame causé directement ou indirectement par les forces policières de l’Etat marocain dans cette région du Rif
ALGÉRIE (Tamurt) - Bien qu’officiellement, les soins sont dispensés gratuitement en Algérie, il n’en demeure pas moins que souvent les citoyens recourent aux praticiens et cliniques privés pour se soigner car les établissements publics sont dépourvus de moyens.
TIZI OUZOU (Tamurt) - Invités souvent à faire l'éloge des gouvernants, des artistes kabyles sont pris en otage par un pouvoir qui ne cesse de renouveler ses tentatives de manipulation des chanteurs kabyles, en mettant bien sûr le prix. On se souvient tous de l'épisode récent des chanteurs kabyles, assis fièrement à côté de Rabah Driassa, en train d'applaudir, avec jubilation et toute honte bue, Abdelmalek Sellal, l'ex-premier ministre.
COMMUNIQUE (Tamurt) - Après près de 23 mois de détention préventive injustifiée et en dehors de toute légalité et de mauvais traitements infligés aux prisonniers durant leur incarcération, Kameleddine Fekhar et ses codétenus ont été présentés le 24 mai 2017 devant le juge du Tribunal criminel de Médéa. Ils étaient notamment poursuivis pour «incitation à la haine et à la violence», «attroupement illégal», «attroupement armé», « tentative de renverser le régime politique» et «atteinte à la sûreté de l’Etat et à l’unité du territoire national».