FRANCE (TAMURT) – Connu pour sa haine envers la culture kabyle et surtout envers Matoub Lounès, l’imam Nourdine Aoussat, un Kabyle installé en France depuis 1988, est dans le point de mire de la justice française. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, selon la presse française, aurait signalé à la justice une vidéo postée sur les réseaux sociaux par l’imam Nourdine Aoussat, qui officie dans une mosquée à Massy dans l’Essonne.
Dans cette vidéo, il menace le ministre Gabriel Attal d’une fatwa. Il parait que l’imam Nourdine Aoussat a affiché sa colère sur la loi visant à interdire le port du voile islamique aux filles de moins de 15 ans dans les lieux publics. « Vous nous poussez à ce qu’une fatwa, un avis religieux, jamais pris ces 25 dernières années, depuis la loi du 15 mars 2004, soit édicté », avait déclaré en substance l’image Nourdine Aoussat.
La menace est prise très au sérieux par les hautes autorités judiciaires françaises. Le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, est connu aussi pour sa lutte sans relâche contre l’islamisme radical en France, ce qui laisse présager que l’imam Nourdine Aoussat est vraiment dans de sales draps.
Dans cette même vidéo, selon les journaux français qui ont accordé une importance particulière à ce sujet, Noureddine Aoussat, qui se présente comme « un imam libre » et non comme « un imam de préfecture ou d’un quelconque consulat », affirme « qu’on n’a pas le droit d’interdire e voile qui est une prescription obligatoire ». Il entend ainsi lutter contre « ces guignols qui n’ont pas voix au chapitre dans la religion musulmane », ciblant ouvertement les opposants au port du voile dans l’espace public pour les mineurs de moins de 15 ans.
Nourdine Aoussat a oublié peut-être qu’en France les menaces sont punies par la loi, pas comme dans son pays d’origine, l’Algerie. Il est allé jusqu’à dire que « L’État n’a pas à dicter de règles ou de lois qui concernent la foi ou la religion, tout comme la religion n’a pas à dicter de règles ou de lois à l’État ».
La justice française aura tout son temps pour expliquer la loi de la république en France à Nourdine Aoussat. Cet imam intervient souvent sur les réseaux sociaux pour s’attaquer à certaines personnalités kabyles, notamment Matoub Lounès. Il fait partie de la secte des Kabyles nés à Alger et qui vouent une haine viscérale à la culture et le combat démocratique Kabyle.
Idir Yatafen
Qu’est-ce qu’il fout en France, pays de toutes les valeurs ! Qu’il retourne vivre en Algérie, pays de misère et de répression et de funestrerie.
Ah… Nourdine Aoussat. Ce grand érudit du néant, ce chevalier des fatwas perdues, ce Kabyle d’importation made in Alger qui s’imagine prophète sur TikTok. Un homme si aveuglé par son propre fanatisme qu’il confond liberté religieuse avec menaces pénales, et mosquée avec chaîne YouTube. Le voilà qui menace Gabriel Attal avec une fatwa… On dirait qu’il croit encore vivre dans une version low-cost du califat d’Alger, avec un croissant sur le drapeau et une burqa sur la loi.
Installé en France depuis 1988, mais visiblement le Wi-Fi de la République n’a jamais atteint sa cervelle. Il prêche la haine contre Matoub Lounès – un symbole de liberté, de lumière, de résistance – depuis les ténèbres de son étroitesse d’esprit. À croire que Matoub le hante plus que le diable qu’il promet à ses fidèles.
Et pendant qu’il vocifère contre une loi sur le voile pour mineures, ce moudjahid du micro se prétend « imam libre »… Libre de quoi ? Libre de bon sens, libre de décence, libre surtout de toute once de dignité kabyle. C’est drôle comme certains oublient leur montagne d’origine dès qu’ils posent un pied dans le béton parisien. Il n’est pas libre, il est hors-sol, comme ces tomates insipides qui n’ont jamais vu la terre.
Quant à sa haine envers la culture kabyle, elle est aussi pathétique qu’un tambour sans peau. Qu’il continue de frapper dans le vide, pendant que la mémoire de Matoub, elle, vibre dans les cœurs et les guitares, bien vivante, bien enracinée.
Bref, si la France est un État de droit, qu’il s’apprête à recevoir une leçon de laïcité bien tassée. Et qu’il se rassure : nul besoin d’une fatwa pour finir ridicule. Il s’en charge très bien tout seul
Fuyant l’islamisme du FIS pendant la guerre civile des annees 90s, beaucoup de ces « Kabyles » d’Alger sont venus se refugier en Kabylie avec leur tchador et idees retrogrades. Certains n’ont jamais quittes et aujourd hui ils/elles sont en trein d’islamiser les Kabyles de Kabylie. Comble d’ironie. A l’image de ce bouffon , ce sont de graves dangers pour les Kabyles.
Un Kabyle qui déshonore la Kabylie dans son authenticité ne mérite aucune attention surtout quand celui ci nage dans la merde de l’islam.
Enfin des Français se réveillent pour dire à ces gens qu’ils ne sont pas les bienvenus en France, enfin même s’il ne dégage pas » avec je ne partira pas surtout pour ses enfants habitués à boire du vrai lait de vache tous les matins » il sera tjrs pointé du doigt par la société Française comme un malfrat et une racaille.
Merci Mr, Bombardier, vous lui avez rien laissé ce Aousakh, vous l’avez bien bombade par les missiles balistiques verbaux.