 - Le chef d'Etat algérien, Abdelmadjid Tebboune, compte gracier plus de 2800 détenus politiques, selon certains médias. Tebboune a déjà parlé " de mesure d'apaisement", lors de son dernier discours et il veut apparemment joindre l'acte à la parole. Mais qui sont ces détenus concernés ?){kind=link}
ALGÉRIE (TAMURT) – Le chef d’Etat algérien, Abdelmadjid Tebboune, compte gracier plus de 2800 détenus politiques, selon certains médias. Tebboune a déjà parlé » de mesure d’apaisement », lors de son dernier discours et il veut apparemment joindre l’acte à la parole. Mais qui sont ces détenus concernés ?
Selon un des avocats des détenus de Larbaa Nath Irathen, « aucun de ces derniers n’est concerné par la libération ». Notre interlocuteur explique que » les détenus de Larbaa Nath Irathen dans l’affaire dite de Djamel Ben Smail, sont considérés comme détenus criminels et pas d’opinions ou politiques ».
Le pouvoir algérien commence d’abord par libérer les anciens ministres de Bouetflika et leurs enfants, comme ce fut le cas avec Abdelmalek Sellal, Djamel Ould Abbas et son fils.
Des observateurs de la scène politique expliquent de leur côté que « les mesures d’apaisement de Tebounne sont contraintes par la pression internationale que le régime algérien subit depuis l’incarcération arbitraire de l’écrivain Boualam Sansal, le 16 novembre dernier ». Pour ne pas donner l’image d’un régime affaibli et isolé, Tebboune libére dans le sillage certains détenus politiques, des anciens ministres de Bouetflika et certains généraux et fort probablement Boualem Sansal.
Dans les coulisses, la France a déployé tout son arsenal diplomatique pour obtenir la libération de Sensal, qui a été récemment naturalisé français.
Pour les détenus politiques Kabyles en général et ceux de Larbaa Nath Irathen, le régime algérien semble vouloir faire l’impasse.
Idir Yatafen
Azul
Pourquoi s’étonner de la réaction du gouvernement terroriste d’Alger !!
Les ( détenus) OTAGES KABYLES dans les prisons coloniales Algérienne sont considérés comme ennemis étant donné que nous sommes en guerre avec eux ( ils sont pas algérien, seulement KABYLE) .
De quoi ils vont justifier leurs libération
Puisqu’on demande l’indépendance KABYLIE Kabyle…
Conclusion : seul la pression internationale dans les instances politiques qui pourrait aidé les otages kabyles de retrouver la liberté.
Et surtout la revendication du peuple sur le terrain à travers les marches de soutien pour eux, principalement dans la diaspora étant donné la situation d’apartheid que Vie la Kabylie depuis maintenant 5 années .
AT DWAYA en force pour l’indépendance KABYLIE Kabyle et l’Algérie de SS ou Mazouzi on s’en fout royalement..