COMMUNIQUE (Tamurt) - Une note officielle a été transmise en mains propres par des élus flamands aux responsables kabyles du MAK [[Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie]] et du CMA [[Congrès mondial Amazigh]] dans laquelle était indiqué que suite aux interpellations et aux questions posées par des députés, élus, membres de la Chambre des représentants et du Sénat belge, le ministre belge des Affaires étrangères a insisté auprès du gouvernement algérien pour que la commémoration du Printemps berbère et du Printemps noir, le 20 avril 2010, se déroule en toute sérénité et sans violence.
COMMUNIQUE (Tamurt) - Une note officielle a été transmise en mains propres par des élus flamands aux responsables kabyles du MAK [[Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie]] et du CMA [[Congrès mondial Amazigh]] dans laquelle était indiqué que suite aux interpellations et aux questions posées par des députés, élus, membres de la Chambre des représentants et du Sénat belge, le ministre belge des Affaires étrangères a insisté auprès du gouvernement algérien pour que la commémoration du Printemps berbère et du Printemps noir, le 20 avril 2010, se déroule en toute sérénité et sans violence.
La mobilisation citoyenne enclenchée juste après l’enlèvement de
l’octogénaire de Vughni, a bien fini par payer. En effet, Aâmi Ali
vient d’être libéré par ses ravisseurs après plusieurs semaines en
captivité dans les maquis de la région de Vughni.
CULTURE (Tamurt) - Pour la première fois réunis dans un même ouvrage, des insurgés d’Avril 80 et des officiels, qui étaient aux premières lignes de défense du pouvoir, racontent le « Printemps berbère ». Ils s’étaient affrontés avec conviction, parfois violemment ; ils en parlent avec sérénité, sans haine.
Le régime fasciste d’Alger avait tiré à balles explosives sur des manifestants réclamant l’officialisation de leur langue et la démocratie pour l’Algérie.
DIASPORA (Tamurt) - Les problèmes de la Kabylie, région montagneuse située à l’Est d’Alger, qui a été un bastion de la lutte de libération algérienne contre le colonialisme français, sont certes très complexes, mais le problème principal réside dans la volonté du régime militaire ayant pris le pouvoir après l’indépendance de l’Algérie en 1962, d’imposer une politique de réislamisation et d’arabisation qui devait être un préalable à l’unité arabe.
L’information a vite fait le tour de la wilaya. Ainsi, le jeune enlevé récemment à Talla Bunane, près des At Dwala a été relâché par ses ravisseurs, hier, jeudi, 15.04.2010 à 3h du matin à At Bouali, à quelques encablures du chef-lieu d'At Dwala.
KABYLIE (Tamurt) - Une caravane du Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie (MAK), a sillonné, hier, plusieurs communes et localités de la Kabylie. Pas moins d'une quartantaine de véhicules ont été réquisitionnés à cet effet par les caravaniers. Le coup d'envoi a été donné à partir de Tizi-Bouchène, commune d'Azazga pour marquer ensuite les étapes suivantes : Azazga-ville, Bouzguène, At-Zikki, Illoula-Oumalou, Imsouhal, Ath-Irathen, Iferhounène, Aïn-El-Hammam, Irdjène et Oued-Aïssi.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Cohérent et sans ambages, le conférencier a démontré que la défense de l’Algérie depuis son invasion par les troupes françaises jusqu’à nos jours a toujours été l’apanage des Kabyles.
La bataille qui s’est déroulée à Alger juste après le débarquement des Français à Sidi-Fredj a été dirigée du côté algérien par un certain Ahmed Zammoun, originaire de Laâzib n’Zammoum (Naciria). De 1854 à 1857, c’est Fadhma n’Soummeur qui, à la tête d’une armée composée essentiellement de guerriers kabyles, affronta l’envahisseur.