AOKAS (Tamurt) – À la veille du mois de ramadhan, les salafistes ont commencé leur sale besogne.
Mercredi, aux environs de 18 heures, une jeune fille a échappé, à Aokas sa ville natale, de justesse à une agression de la part d’un sétifien, semble-t-il, qui s’est arrêté à son niveau pour tenter de la frapper.
Cela s’est passé à proximité du siège de la mairie de la localité et fort heureusement qu’il y avait quelques jeunes de la région aux alentours qui ont intervenu faisant fuir l’agresseur.
Ceci est survenu, certainement, après la campagne médiatique haineuse des salafistes appelant à l’agression des femmes non voilées.
Le ministre algérien des affaires étrangères a reconnu, il y a quelques temps de cela, qu’il a été dénombré plus de 46.000 comptes sur les réseaux sociaux appartenant à des salafistes.
En Kabylie, la peur doit changer de camp et les salafistes doivent être pourchassés comme des malfrats après cette tentative d’agression sur une jeune kabyle.
Amaynut