CONTRIBUTION (Tamurt) - Ces consultations sur la révision de la constitution sont censées toucher toutes les composantes de la société algérienne, mais comme il ne choisit que les interlocuteurs qui rentrent dans son moule, il a préféré comme d'habitude écarter l'élite berbérophone activant dans le domaine amazigh qui représentante pourtant une large couche du peuple.
Depuis Montréal où il a élu domicile, Boussad Ouidja ou Belqacem Ihidjaten est un poète qui persiste à versifier en Kabyle. Discret et réservé, l'homme n'en est pourtant pas à sa première publication. Il compte à son actif sept recueils de poésie et vient de mettre sur le marché un huitième intitulé Tawenza : Destinée. Dans la foulée de cet évènement, il a bien accepté d'accorder cet entretien aux lecteurs de Tamurt.info.