Archives quotidiennes: Juil 4, 2018

5 juillet, une indépendance de façade

ALGÉRIE (Tamurt) - Demain, c’est le 5 juillet, la fête de l’indépendance de l’Algérie. On doit plutôt considérer cette date comme celle de la décolonisation officielle car l’indépendance est loin d’être acquise.  Non  seulement, la France a toujours son mot à dire dans la gestion des affaires algériennes.

5 juillet 1962- 5 juillet 2018 : Célébration d’une indépendance confisquée

ALGERIE (Tamurt) - Demain, jeudi 5 juillet, l’Algérie officielle célébrera, avec un semblant de faste, l’anniversaire de l’Indépendance. Mais le peuple, lui, continuera de subir les conséquences désastreuses de la confiscation de cette même indépendance chèrement payée avec plus d’un millions de martyrs et d’autres sacrifices incommensurables. Sans doute, c’est la Kabylie qui a payé le plus lourd tribut de cette confiscation. Alors qu’elle a été la région la plus impliquée, corps et âme, durant la guerre d’indépendance aussi bien dans les maquis que sur le plan de l’organisation politique du FLN-ALN. La Kabylie et ses hommes ont vite été écartés au lendemain de l’indépendance.

L’ambassade ne délivre presque plus de visas aux Algériens

ALGERIE (Tamurt) - Les chances deviennent de plus en plus minimes pour obtenir n'importe quel visa pour aller en France. L'ambassade de France à Alger semble fermer les "vannes". Les demandeurs de visas pour ce pays de l'Union Européenne sont de plus en plus dissuadés de ne pas déposer de demandes.  En plus des rendes-vous sont repoussés très loin, il faut au moins quatre mois pour l'avoir, ceux qui ont réussi à déposer leurs dossiers ont vu, pour la majorité écrasante d'entres eux, leurs demandes rejetées.

Un lundi meurtrier à Vgayet

VGAYET (Tamurt) - La journée du lundi a été meurtrière pour la région kabyle de Vgayet. Dès la matinée, aux environs de huit heures, un ouvrier chinois, âgé d’une  vingtaine d’années, travaillant sur le chantier du tunnel de Sidi Aïch, l’une des sections de la pénétrante autoroutière reliant Vgayet à l’autoroute Est-Ouest, a été mortellement écrasé par un retrochargeur.

La langue arabe bannie en Turquie

TURQUIE (Tamurt) - Au moment où l’Algérie s’entête vaille que vaille que vaille à hisser au firmament la langue arabe, la municipalité d’Esenyurt à Istanbul a procédé au retrait des enseignes écrites en arabe de tous les magasins qui s’y trouvent. Un geste qui se veut de bannir la langue d’El Moutanabi pour ne laisser place que pour la langue turque.
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