CONTRIBUTION (Tamurt) - Ses réponses tranquilles et soft relatives à sa vie quotidienne, à son village, à la chanson, à sa famille et à sa dernière production dénotent avec un sursaut qu’il veut d’indignité lorsque la journaliste, en parfaite connivence, aborde le sujet.
CULTURE (Tamurt) - C'est l'exemple de la république autonome de Crimée, en Ukraine, qui fût le thème d'une conférence hier 20 juillet à Tizi n Tsemlal, dans le cadre de l'université d'été du MAK. Conférence animée par M. Messaoud Ben Mokhtar, professeur de langue française à l’université d’Odyssée, en Crimée. Il était directeur à l’Institut National de la Formation Professionnelle (INFP) de Oued-Aïssi pendant de longues années avant de quitter le pays avec sa petite famille au début de la décennie de 90. Il a fait ses études supérieures en ukraine et l'un de ses camarades d’université n’était autre que Benbouzib Aboubaker, actuel ministre algérien de l’éducation.
CULTURE (Tamurt) - C'est l'exemple de la république autonome de Crimée, en Ukraine, qui fût le thème d'une conférence hier 20 juillet à Tizi n Tsemlal, dans le cadre de l'université d'été du MAK. Conférence animée par M. Messaoud Ben Mokhtar, professeur de langue française à l’université d’Odyssée, en Crimée. Il était directeur à l’Institut National de la Formation Professionnelle (INFP) de Oued-Aïssi pendant de longues années avant de quitter le pays avec sa petite famille au début de la décennie de 90. Il a fait ses études supérieures en ukraine et l'un de ses camarades d’université n’était autre que Benbouzib Aboubaker, actuel ministre algérien de l’éducation.
Le ministre algérien des affaires religieuses et du wakf, Bouabdallah Ghlamallah, a annoncé lors d'une conférence à Alger le 19 juillet 2010 que 140 Imams et morchidates (femmes imams) vont prendre poste (puisque c'est reconnu comme un métier) un peu partout en Kabylie.
Le régionalisme qui mine l’Etat et la Nation est un des plus grands dangers qui menace l’Algérie. Le problème est d’autant plus grave qu’une bonne partie de ce que l’on appelle les « observateurs » continue de nier ce phénomène par intérêt, par peur ou par paresse intellectuelle.
KABYLIE (Tamurt) - Scandalisé par la diffamation dont il a fait l’objet sur Kabyle.com où il a eu la désagréable surprise de lire que « {Le président du Conseil d'Ath Lekser M. Farid Himoum annonce la démission collective d'une cinquantaine de membres du MAK à Bouira dont il fait partie ce mercredi 14 juillet 2010} », le président du Conseil universitaire du MAK-Tuvirett a tout de suite démenti cette information en précisant que la liste en question et celle comportant les noms des étudiants du MAK de Tuvirett qui devraient participer à [l’université d’été->http://www.tamurt.info/un-programme-riche-et-varie,545.html?lang=fr] du Mouvement mais a été honteusement et, en toute vraisemblance, sciemment présentée par Kabyle.com comme étant une liste de « démissionnaires du MAK ».
KABYLIE (Tamurt) - Boussad Berrichi est chercheur-universitaire résident au Canada. Il est auteur scientifique du volume 1 de « Mouloud Mammeri, écrits et paroles » (2 tomes), publié aux CNRPAH d’Alger et réédité en juin 2010. Il a dirigé et publié récemment le collectif Tamazgha (Afrique du nord) francophone au féminin (éditions Séguier). Auteur du volume 1 de « Mouloud Mammeri. Amusnaw », il est chercheur Invité de la Fondation Kastler de l’Académie des Sciences en France depuis 2003.
ALGÉRIE (Tamurt) - En effet, La justice a réagi contre les présumés meneurs de troubles en organisant des procès expéditifs. Des peines de 2 à 8 ans de prison ferme ont été prononcées à l’encontre des prévenus. C’est ainsi que la personne répondant aux initiales de M. A. un Kabyle, a été condamné à deux ans de prison ferme. Son tort est d’être au mauvais endroit au mauvais moment.
KABYLIE (Tamurt) - Officiellement, ce report est justifié par un besoin d’instruction complémentaire. Cependant, l’instance judiciaire en charge de ce dossier, ô combien brûlant, n’a pas jugé utile de fixer la date de son ouverture.
Depuis que l’école algérienne est politisée, je ne sais plus quoi penser des résultats scolaires en Kabylie. Il est, par ailleurs, possible de remarquer que l’augmentation du pourcentage de la réussite dans les écoles algériennes est proportionnelle à l’augmentatioon de la médiocrité du niveau des diplomés. Il en est de même pour le niveau des universités algériennes qui sont de plus en plus loin derrières les universités marocaines et tunisiennes, pour ne citer que nos voisins.