Archives quotidiennes: Juil 29, 2010

Bouandès (Village kabyle de Sétif) : « Ma mère s’est vue rejeter sa demande de logement parce qu’elle est chrétienne »

SOCIÉTÉ (Tamurt) - Une femme, originaire de la daïra de Bouandès (région kabylophone de Sétif) s’est vue rejeter sa demande de logement social par la commission de daïra à cause de sa chrétienté.

Bouandès (Village kabyle de Sétif) : "Ma mère s’est vue rejeter sa demande de logement parce qu'elle est chrétienne"

SOCIÉTÉ (Tamurt) - Une femme, originaire de la daïra de Bouandès (région kabylophone de Sétif) s’est vue rejeter sa demande de logement social par la commission de daïra à cause de sa chrétienté.

Conférences sur la langue kabyle à l’Université d’été du MAK, une langue a besoin d’être parlée et écrite

KABYLIE (Tamurt) - Kamel Bouamara, qui est l'auteur du dictionnaire kabyle-kabyle "Issin", n’a pas mâché ses mots pour mettre aux banc des accusés ceux qui prétendent que la langue kabyle n’est pas apte à répondre aux besoins de l’homme en matière de communication. "Ce sont eux qui n’arrivent pas à être au diapason de l’exigence de la langue kabyle !", déclare avec véhémence le Dr Bouamara. Le conférencier est allé même jusqu’à "psychanalyser" ces hommes et ces femmes qui préfèrent faire recours à la langue française dans leurs discussions quotidiennes. Idem concernant les parents qui parlent à leurs enfants dans une langue étrangère, le français surtout, à la place de la langue maternelle (le kabyle). Selon le docteur Bouamara, de tels parents souffrent de graves symptômes psychologiques. "Même une maman enseignant la langue arabe, cite comme exemple le conférencier, parle à son bébé en français".

Conférences sur la langue kabyle à l'Université d'été du MAK, une langue a besoin d’être parlée et écrite

KABYLIE (Tamurt) - Kamel Bouamara, qui est l'auteur du dictionnaire kabyle-kabyle "Issin", n’a pas mâché ses mots pour mettre aux banc des accusés ceux qui prétendent que la langue kabyle n’est pas apte à répondre aux besoins de l’homme en matière de communication. "Ce sont eux qui n’arrivent pas à être au diapason de l’exigence de la langue kabyle !", déclare avec véhémence le Dr Bouamara. Le conférencier est allé même jusqu’à "psychanalyser" ces hommes et ces femmes qui préfèrent faire recours à la langue française dans leurs discussions quotidiennes. Idem concernant les parents qui parlent à leurs enfants dans une langue étrangère, le français surtout, à la place de la langue maternelle (le kabyle). Selon le docteur Bouamara, de tels parents souffrent de graves symptômes psychologiques. "Même une maman enseignant la langue arabe, cite comme exemple le conférencier, parle à son bébé en français".
- Advertisment -

Most Read