Archives quotidiennes: Nov 8, 2011

Le dernier souffle de la laïcité kabyle

CONTRIBUTION (Tamurt) - Contrairement aux autres berbères, les Kabyles étaient les seuls ou plutôt ceux qui avaient l’organisation la plus égalitaire. Mais ce qui allait étonner les uns et les autres, c’est bien cet amour du peuple kabyle, de son attachement indestructible de sa liberté et de son indépendance.

Doublage et adaptation de films en kabyle : Un véritable phénomène culturel

REVUE DE PRESSE (Tamurt) - Au-delà de la réussite du travail d’adaptation et du succès commercial, il y a un vrai phénomène de société de par l’engouement qu’ils ont jusque-là suscité. Par-delà, il s’agit de la naissance d’une vocation culturelle inédite dans le paysage algérien. Nous avons essayé d’en savoir un peu plus en nous rapprochant de Samir Aït Belkacem, l’un de ceux qui ont contribué à lancer ce nouveau créneau et qui fait désormais figure de pionnier du genre. Nous sommes en juin 2005, à Agouni, modeste hameau accroché aux contreforts du Djurdjura du côté de Aïn El Hammam, anciennement appelé Michelet. Dans une vieille maison de pierres, qui a subi la patine du temps, deux amis d’enfance, Saïd Hadj Abdennour et Samir Aït Belkacem, s’amusent à tromper leur ennui en doublant dans leur langue maternelle L’Age de Glace.

La haine de l’autre

SOCIÉTÉ (Tamurt) - L’école est sensée être la mémoire et l’avenir d’un peuple. Elle est le premier contact de l’enfant avec le monde extérieur. En lisant sur Tamurt, Dihia, cette jeune fille kabyle qui veut changer son prénom, j’ai ressenti une charge aussi pesante que suffocante. Au-delà de l’exemple cité par le journaliste, on peut se demander comment est-ce possible que, Dihia, Koceila, Massinissa, et ceux d’hier encore Mammeri, Matoub, Abelkrim au Maroc,... soient jetés, comme des malfrats, dans la corbeille de l’histoire contemporaine. Cette réalité est écartée au détriment d'une imposture, d'une histoire mystifié qu’on enseigne aujourd'hui dans nos écoles et qui laissera des traces indélébiles dans le comportement de nos enfants.

La haine de l'autre

SOCIÉTÉ (Tamurt) - L’école est sensée être la mémoire et l’avenir d’un peuple. Elle est le premier contact de l’enfant avec le monde extérieur. En lisant sur Tamurt, Dihia, cette jeune fille kabyle qui veut changer son prénom, j’ai ressenti une charge aussi pesante que suffocante. Au-delà de l’exemple cité par le journaliste, on peut se demander comment est-ce possible que, Dihia, Koceila, Massinissa, et ceux d’hier encore Mammeri, Matoub, Abelkrim au Maroc,... soient jetés, comme des malfrats, dans la corbeille de l’histoire contemporaine. Cette réalité est écartée au détriment d'une imposture, d'une histoire mystifié qu’on enseigne aujourd'hui dans nos écoles et qui laissera des traces indélébiles dans le comportement de nos enfants.
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