L'association culturelle INAS et l'association culturelle amazigh d'Ottawa-Hull (ACAOH) ont le plaisir de vous annoncer la tenue de leur deuxième Gala-bénéfice, qui aura lieu...
CONTRIBUTION (Tamurt) - Depuis la fin des années 20, la Kabylie était le fief du mouvement nationaliste algérien. La parole indépendantiste a été portée très tôt, en France de l'entre-deux-guerres, par les immigrés algériens dont la plupart sont kabyles. Ils travaillaient dans les usines de la région parisienne, de la région lyonnaise ou du nord de la France, bassins industriels et houillers qui avaient besoin d'une importante main-d'œuvre immigrée. Le recrutement des travailleurs algériens s'est effectué brutalement, par le déplacement des populations kabyles. Laissant femmes et enfants au pays, c’étaient des hommes seuls, paysans déclassés, qui sont arrivés en France, qui ne vivaient là que pour retourner un jour dans la ville, le village, la campagne d'origine.