REVUE DE PRESSE (Tamurt) - La saison estivale n’aura que très modérément réduit les irruptions médiatiques engendrées par la publication du livre Amirouche, une vie, deux morts, un testament. Si l’on veut être optimiste, on peut en conclure que la profusion des interventions témoigne de la soif des Algériens de comprendre un passé dont ils ont été dépossédés et par lequel on les a soumis. Si l’on s’en tient à la nature de la grande majorité des productions, force est de constater que la plupart des auteurs se sont saisis de la parution du livre qui pour régler des comptes, qui pour jeter l’anathème sur mon initiative en vue de maintenir, d’une manière ou d’une autre, la chape de plomb sur la mémoire algérienne.
TIZI WEZZU (Tamurt) - Leur action a été traduite par la fermeture pure et simple à l’aide d’un cadenas du portail en fer forgé donnant accès à l’espace du monument en question. Ce geste à saluer s’est déroulé sans anicroche puisque les militants de la FNFC ont été appuyés par la force publique. En effet, les personnes présentes à l’intérieur de la plate-forme du monument, cinq ou six adolescents, ont été sommés par les policiers de quitter les lieux au moment où on s’apprêtait à cadenasser le portail.
Le centre d’incinération des déchets toxiques de l’hôpital d'Imeceddalen (M’chedallah), Abchiche Ahmed, menace la santé des citoyens résidant dans les quartiers environnants. Les odeurs et les fumées toxiques relâchées dans l’air suite à l’incinération des déchets qui proviennent de tous les centres de santé relevant du secteur sanitaire d'Imceddalen.