Archives quotidiennes: Août 14, 2018

Agouni Gueghrane, Adil Slimane, ancien de l’Académie Berbère s’en va

AGOUNI GUEGHRANE (Tamurt) - Adil Slimane était un des animateurs de l’Académie Berbère des années durant pour promouvoir et conscientiser les peuples amazighs. Il s'est éteint hier au CHU de Tizi Ouzou, à l’âge de 72 ans. Originaire de la Commune d’Agouni Gueghrane  dans la région des Ouadhias, Adil Slimane est père de 10 enfants portant tous un prénom amazighs

Suite à notre article sur Ali Amrane : La direction de la culture de Tizi Ouzou a supprimé le nom de Bouteflika

TIZI OUZOU (Tamurt) - Décidément, tous les moyens sont bons pour faire avaler la pilule aux citoyens de Kabylie, y compris la suppression le nom du Président de la République Abdelaziz Bouteflika dans les communiqués officiels. En effet, juste après la parution de l’article que nous avons publié sur « Tamurt.info » déplorant le fait que le chanteur kabyle Ali Amrane allait chanter sous le haut patronage de Abdelaziz Bouteflika, la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou n’a pas tardé à réagir. Pour protéger ses « disciples ».

Un commerçant kidnappé à Drâa Ben Khedda

SOCIÉTÉ (Tamurt) - Le fils d’un commerçant a été enlevé par deux individus dans la région de Drâa Ben Khedda, à onze kilomètres à l’est du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou. Selon des informations officielles, le 11 du mois en cours, un citoyen s’est présenté  à la sûreté de daïra de Draâ Ben-Khedda pour signaler l’enlèvement et la séquestration de son fils, commerçant de son état, par deux individus qui l’ont contacté.

Les cafés littéraires d’Aokas et Bouzguen dénoncent le chef de daïra de Kherrata

KABYLIE (Tamurt) - L’administration n’a pas cessé l’opération d’interdiction de conférences initiées par le mouvement associatif local dans les différentes contrées de Kabylie. Il y a quelques jours de cela, c’est l’association activant au niveau de la maison de jeunes de la localité de Snadla, relevant de la commune de Kherrata, qui a essuyé un refus catégorique du chef de daïra pour la tenue d’une conférence.

Beaucoup d’investisseurs Kabyles ont peur d’utiliser leur langue maternelle

CONTRIBUTION (Tamurt) - Très peu de Kabyles ont le courage d’utiliser leur langue maternelle  dans la communication écrite de leurs entreprises ou sur les frontons de leurs magasins de peur de subir les foudres du pouvoir par le biais de ses lourdes sanctions fiscales.  
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