FRANCE (TAMURT) – La crise entre Alger et Paris enfle. Elle est inédite. Même en 1971 lorsque Boumediene avait nationalisé les hydrocarbures la crise n’avait pas atteint le niveau de celle d’aujourd’hui entre ces deux pays. La presse française et plusieurs observateurs et analystes politiques français parlent de rupture diplomatique entre l’Algérie et la France, suite à la énième convocation de l’ambassadeur de France par Alger pour une histoire de maltraitance des ressortissants algériens dans les aéroports parisiens.
Alger, pour rappel, avait déjà rappelé son ambassadeur à Paris, depuis juillet 2024. Tout a commencé lorsque Emmanuel Macron avait annoncé en juillet dernier la reconnaissance de la France de la souveraineté marocaine au Sahara occidentale. Depuis, pratiquement chaque jour, les relations entre les deux pays se dégradent davantage. L’Algérie a réagi comme une bête blessée et ne veut rien entendre. Pour les décideurs algériens, la cause sahraouie est sacrée.
Aujourd’hui, la crise a atteint le point de non-retour au point que la presse française évoque même la possibilité de la France de couper ses relations diplomatiques avec l’Algérie, surtout que Tebboune refuse de libérer l’écrivain Boualem Sansal.
Les conséquences seront irréversibles pour la communauté kabyle installée en France. Les Kabyles seront des boucs émissaires à cause du désaccord de Paris avec Alger, alors que les Kabyles en principe, si ce n’était la domination algérienne, ne sont concernés par cette crise, ni de près ni de loin.
Idir Yatafen
Une décision historique et un pas en avant si le gouvernement français rempre sa politique de proximité avec ce régime hostile, les années d’ors désormais font partie du passé!
Azul
Le problème de la France ne réside pas dans son peuple qui est résistant et courageux.
C’est plutôt la classe politique française (toutes tendances confondues) qui sont lâches !!
Pauvres France et par conséquence pauvre KABYLIE…
AT DWAYA en force pour l’indépendance KABYLIE Kabyle et l’Algérie de SS ou Mazouzi on s’en fout royalement.