ALGER (TAMURT) – Les autorités algériennes, qui refusent de recevoir ses ressortissants délinquants expulsés par la France sous le motif que leurs droits ne sont pas respectés par la France ou que leur manière d’expulsion ne respecte pas les canaux diplomatiques, expulsent par masse des centaines de nigériens et autres réfugiés des pays du Sahel, chaque jour, dans des conditions inhumaines.
Rien que pour la journée du samedi dernier, plus de 1 100 personnes en situation irrégulière ont été expulsées. dans le désert par les autorités algériennes. Femmes enceintes, enfants et même des blessés ou malades non soignés sont jetés par les militaires algériens en plein Sahara, sans aucune prise en charge et loin de toutes habitations. « Depuis trois ans, le nombre de migrants expulsés dans cette zone est en hausse constante. C’est la première fois qu’autant de migrants sont expulsés d’Algérie en une seule fois », révèle à la presse le collectif d’associations nigérien « Alarme Phone Sahara» qui vient en aide aux migrants sur les routes dans le désert. « 1 140 personnes ont été expulsées d’un coup. Un chiffre jamais vu. Ces personnes venaient en majorité d’Afrique subsaharienne et trois venaient du Bangladesh », ajoute un membre du collectif. « Elles ont été abandonnées par les autorités algériennes près de la frontière du Niger, dans un endroit surnommé le « point zéro ». Les personnes expulsées doivent ainsi marcher une quinzaine de kilomètres pour rejoindre la localité la plus proche de la frontière au Niger, Assamaka. Sur la route, elles sont livrées à elles-mêmes dans une chaleur extrême qui fait régulièrement des victimes », précisent à la presse des membres du collectif « Alarme Phone Sahara ».
L’acharnement des autorités algériennes envers les réfugiés africains en détresse, qui souvent viennent des régions touchées par des conflits armés ou des famines, s’est accentué ces derniers mois depuis la détérioration des relations entre l’Algérie et le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Les réfugiés payent les pots cassés. L’Algérie, qui dit ne permettre à personne de toucher un cheveu de ses ressortissants à l’étranger, permet à ses militaires de commettre des exactions envers les réfugiés étrangers sur son sol, dans le sud loin des regards. Le respect des droits de l’homme est le dernier souci du régime algérien.
Idir Yatafen
Azul fellawen…Sachez que l immense majorité des populations kabyles ne se reconnaît aucunement dans le projet du mak ainsi que son drapeau venu d ailleurs ne représente pas la kabylie dans son ensemble… Comme tout le monde sait, personne a mandaté f.mehenni de parler au nom des kabyles. Tout kabyles n ignore pas que la kabylie est au sein de l Algerie, sans oublier que l Algérie est au sein de la kabylie…Kabyles nous sommes, et Algeriens nous le resterons éternellement…thanemirt
Azul mr mouche.e
Personne ne représente personne
Seul un référendum pour trancher définitivement la question KABYLE.
PS : un vrai KABYLE n’écrirai jamais merci comme tu là fait.
» Tanmirt « pas thanemirt écriture de mouche électronique.
Que un kabyle pour détruire un autre kabyle
azul a yizi iliktronik:
L’affirmation selon laquelle « l’Algérie est au sein de la Kabylie » est profondément erronée et reflète une vision déformée de la relation entre ces deux entités. Il est important de rappeler que l’Algérie est un pays souverain, avec une structure territoriale claire qui englobe de nombreuses régions, dont la Kabylie.
L’idée que l’Algérie pourrait être « dans » la Kabylie n’a ni fondement géographique, ni politique, car il est matériellement et juridiquement impossible qu’un État soit « dans » une région spécifique de son propre territoire.
La Kabylie, tout en étant une région riche en histoire et en culture, est une partie intégrante de l’Algérie, mais elle ne définit pas l’Algérie dans son ensemble. L’Algérie, en tant que nation indépendante, existe au-delà de ses frontières régionales, et il serait absurde de la réduire à une seule de ses régions. L’État algérien est constitué de plusieurs régions avec des identités diverses, et la Kabylie fait partie de cette mosaïque, mais elle ne peut en aucun cas en être le centre unique ou le fondement exclusif.
D’autre part, si l’Algérie est « au sein de la Kabylie » dans le sens où la Kabylie fait partie de l’Algérie, cela ne doit pas être compris comme une subordination de l’État algérien à une seule de ses régions. Cela reviendrait à ignorer la réalité de l’intégrité territoriale de l’Algérie et à affirmer que cette dernière pourrait exister de manière subordonnée à la Kabylie, ce qui est manifestement faux. En résumé, l’Algérie ne peut pas être « dans » la Kabylie, tout comme un pays souverain ne peut se réduire à une seule de ses régions.
Pour une mouche electronique, tes notions de logique sont plutôt limitées.
Azul,
A ma connaissance, vous n’avez pas effectué de sondages auprès des kabyles pour avancer qu’ils ne se reconnaissent pas dans le projet du MAK.
De plus, aucun algérien n’a mandaté les 6 déclencheurs de la révolution en novembre 1954.
Donc, pour finir, quand on ne connaît pas plus que ça, …