Attaques contre les kabyles par Naima Salhi : l’affaire relancée

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KABYLIE (TAMURT) – Après plus de huit mois de silence radio, la plainte déposée contre Naima Salhi pour ses attaques racistes et répétées contre tout ce qui symbolise la Kabylie, les Kabyles et l’amazighité a repris son cours normal. La plainte déposée contre Naima Salhi n’est finalement pas tombée dans l’oreille d’un sourd.

Ce sont les avocats ayant été derrière ce dépôt de plainte contre Naima Salhi qui ont révélé cette information dans un communiqué rendu public ce jeudi 5 mars 2020. Les concernés souligne à ce sujet : « En ce jeudi, 5 mars 2020, nous nous sommes présentés à la brigade de recherche du groupement de gendarmerie de la ville de Cheraga, suite à notre convocation en date du 3 mars 2020. Le brigadier en chef qui nous a reçu dans son bureau, nous a informés que le motif de notre convocation est en rapport avec la plainte déposée contre la présidente du parti pour l’Equité et la Proclamation (PEP), Mme Naima Salhi, pour « incitation à la haine raciale et appel au meurtre » via sa page officielle Facebook à travers des vidéos et des publications ». Les avocats en question ajoutent en outre « qu’après avoir vérifié notre filiation, un officier nous a entendu où nous avons rappelé les faits reprochés à la mise en cause, comme mentionnés dans notre plainte déposée, faut-il rappeler, le 9 juin 2019 au niveau du tribunal de Boumerdès ».

Les concernés rappellent ainsi qu’après plus de huit mois d’attente où « notre plainte était perdue entre deux juridictions », l’instruction est enfin engagée contre cette « délinquante politique » qui ne cesse de faire parler d’elle, malgré la fermeture de ses deux pages officielles. « Nous souhaiterions que la procédure se poursuive pour aboutir à un procès que nous espérons équitable », ajoute les avocats Salim Chait, Kader Houali et Sofiane Dekkal tout en rappelant que « le racisme n’est pas une opinion, mais un délit passible de justice ». « Nous ne ménagerons aucun effort pour en traduire les promoteurs devant les tribunaux », concluent les mêmes avocats.

Tarik Haddouche

5 Commentaires

  1. C’est un piège pour qu’ensuite justifier le jugement des kabyles qui refusent l’ assimilation.
    Cette femme est un agent et elle ne bouge pas un doigt que s’ il lui a été ordonné. Le même régime qui l’ utilisera comme précédent  » judiciaire « , comme dans la tradition stalinienne qui consiste à éduquer les masses en punissant quelques uns!
    Ceux qui font recours à l’ injustice criminelle ne font que lui redorer le blason entaché de sang de centaines de victimes kabyles!

  2. Naïma Salhi a renié ses vraies origines berbères pour s’assimiler à une pseudo arabo-islamiste. Elle se retourne contre les kabyles, comme le font tous les endocrinés quand ils se retournent contre leurs frères et sœurs. Les islamistes sont des endocrinés politico-religieux qui partagent en commun une forme de schizophrénie collective, et qui se croient plus arabes que les vrais arabes. Naïma Salhi ne sait même pas que ses ancêtres sont Numides, ses maîtres arabo-bedouins lui ont appris à se mettre une serpillière sur la tête, et à se taper la tête par terre cinq fois par jour, et c’est tout ce qu’elle sait faire.

  3. Naima Salhi est soutenue par des genenars sorties froit des Gourbi, incultes et complètement arrières et qui se trouvent parachutés par un concours de circonstance, à la tête d’un etat providentiel, et O, combien riche. Ces genenars se sont transformé en mafieux et ont versé dans la délinquance, le mensonge, le crime, la calomnie, ces gens là ont la peur au ventre, ils ont besoin d’une Naima Salhi, pour créer la division, le sectarisme, le régionalisme, et la mésentente. Ils ont besoin de beaucoup plus que la Naima Salhi. Pour se protéger et s’incruster dans le pouvoir.

  4. Il est inutile de porter plainte contre une femme et se taire devant des islamistes notoires, connus de tous, et s’exprimant sur les réseaux sociaux, qui s’en prennent à la Kabylie et aux Kabyles. On ne doit pas s’attaquer à une pauvre bougre femme. D’ailleurs cette plainte d’une part elle n’a aucune chance d’aboutir à la condamnation de ceux qui insultent la Kabylie et de deux elle ne fait que renforcer la reconnaissance de la « justice » algérienne qui n’en est pas une.

    Comment demander réparation à une justice qui ferme les yeux et même avalise les arrestations arbitraires de Kabyles qui n’ont pour seul crime que de marcher et de crier leur soif de Liberté.

  5. Il aurait fallu l’ignoré complètement.
    Comme réponse, nous avons beaucoup de chantier à entamer pour déjà s’unir, préparer un programme scolaire complet en Tamazight, mettre en place des assemblées Kabyles à savoir développer TAJMAAT on lui dédiant un espace digne de ce nom, lancer des projets de développement pour faire évoluer les mentalités etc ….

    Nous avons tout à faire au lieu de livrer nos enfants aux boqoqos qui feront d’eux des Naima el Fayhi

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