Archives mensuelles: Février, 2019

Tizi Ouzou : marche des avocats aujourd’hui contre le 5ème mandat

ALGERIE (TAMURT) – Les marches de protestation contre le cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika se poursuivent. Ainsi, la ville de Tizi Ouzou abritera aujourd’hui (jeudi 28 février) une marche nationale des avocats alors que la capitale Alger sera au rendez-vous avec une marche des journalistes.

La panique et le choc du général Ali Ghediri

ALGERIE (TAMURT) - Le candidat du général Toufik est pris de panique. Il semble être dépassé par les événement, après les manifestations monstrueuses contre le régime. Il ne sait pas quoi faire ni quoi dire. Ghediri n'a aucune expérience ni aucune culture politique. Il n'a jamais été élu même comme simple élu d'une commune ni occupé un poste politique.

Cherif Mellal, on m’a agressé parce que je suis contre Bouteflika

KABYLIE (TAMURT) - La volonté des décideurs de mettre le feu en Kabylie n'est plus à démontrer. Selon le président de la JSK, Cherif Mellal, ses agresseurs sont payés par le patron Tahkout. En d'autres termes, ils sont envoyés par le clan d'Ahmed Ouyahia. Le patron de la JSK, lors d'une conférence de presse tenue hier au siège du club à Tizi Ouzou, ses agresseurs sont des milices du pouvoir.

Le clan du Toufik veut mettre le feu en Kabylie

KABYLIE (TAMURT) - le général Toufik et ses supplétifs en Kabylie usent de toutes leurs forces pour faire sombrer la Kabylie dans un bain de sang. Les tentatives sont quotidiennes. Le général Toufik veut solder ses comptes avec le clan de Bouteflika en actionnant la Kabylie.

Marche, grève et agression : journée mouvementée à Tizi Ouzou

KABYLIE (TAMURT) - C'est une journée mouvementée qui a été vécue dans la wilaya de Tizi Ouzou hier. En effet, en plus de la marche, ayant drainé des milliers d'étudiants, une grève a paralysé tous les établissements scolaires dans les soixante-sept communes. En outre, le président de la JSK a été agressé dans son bureau par des individus inconnus.

Le simulacre de révolution de la PP et l’avenir du peuple kabyle

CONTRIBUTION (TAMURT) - Il ne faut pas être diplômé de Harvard ou porter le titre de « douctour »pour comprendre que les manifestations des peuples d'Algérie sont téléguidées par la police politique (PP), le saint des saints du régime. Certes, le ras-le-bol est généralisé. Le « dégouttage » et la mal-vie touchent toutes les couches de la société, notamment les jeunes. Cependant, la manière avec laquelle est conduite cette révolte spontanée pose plus d'une question.

Ouyahia défie le peuple : Bouteflika va rester !

ALGERIE (TAMURT) – Ahmed Ouyahia, sans l’affirmer explicitement a affirmé, lundi devant les députés de l’APN, que le Président Abdelaziz Bouteflika restera après le 18 avril 2019. Certes, Ahmed Ouyahia n’est pas allé jusqu’à le dire de manière directe mais il l’a signifié clairement en abordant notamment les grands chantiers de Bouteflika pour l’après 18 avril 2019.

Les députés du FFS et du RCD refusent de quitter le parlement

ALGERIE (TAMURT) - Leila Hadj Arabe, députée du RCD, était la première a sortir dans la rue à Alger-centre, le 22 février dernier pour crier de toutes ses forces au départ d'Abdelaziz Bouteflika. Mais pas question pour elle, ni pour les 8 autres députés de sont parti, de quitter le parlement, tous Kabyles faut-il le préciser.

Ali Laskri perd le contrôle du FFS

ALGERIE (TAMURT) - Les députés du FFS ont décidé de reprendre leurs activités parlementaires sans l'aval d'Ali Laskri. Ce dernier les a gelé, en sa qualité de coordinateur de l'Instance Présidentielle. Il s'est même opposé à la reprise des activités, mais les députés du FFS ne l'ont pas écouté.

Kabylie : Les raisons du boycott politique et actif

KABYLIE (TAMURT) - Nous souverainistes dans notre diversité, sommes depuis longtemps en rupture avec l’Etat-Nation et ses fondements. Nous défendons le droit à la souveraineté du peuple Kabyle dans son territoire : la Kabylie. Un statut politique et juridique de la Kabylie est une nécessité absolue comme réponse à notre problématique, au déni de l’Histoire et au déni du droit des peuples. Nous ne nous reconnaissons pas dans la matrice qui défit sur le plan doctrinal les éléments constitutifs de la Nation Algérienne, ni dans sa république falsificatrice. Et moins encore dans cet Etat jacobin et autocratique.
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