TIZI WEZZU (Tamurt) - Les membres de l’assemblée populaire de wilaya (APW) de Tizi-Ouzou sont très en colère et se sentent terriblement frustrés. Et pour cause : le refus de validation de leur délibération concernant la mise sur pied d’une commission d’enquête devant enquêter sur la dilapidation exagérée de deniers publics ; plus exactement sur les importants détournements opérés dans le cadre des travaux de réfection du théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou.
Younès Adli, écrivain et universitaire, vient de publier son sixième ouvrage. Intitulé, Les efforts de préservation de la pensée kabyle aux XVIIIe et XIXe siècles, cet essai, dont le tome II est en chantier, présente les mécanismes des relations sociales en Kabylie un siècle avant la colonisation.
TIZI WEZZU (Tamurt) - En effet, aujourd’hui, plus exactement à 13 h 40, 7 hommes à bord d’un véhicule 4x4 de couleur noire et de marque Mitsubishi, ont essayé de kidnapper un commerçant au centre-ville de Tizi-Ouzou.
Une semaine après leur manifestation à l’intérieur de la cour de la wilaya de Tizi-Ouzou pour faire valoir leurs droits, les gardes communaux ont tenu encore aujourd’hui pour les mêmes motifs un deuxième sit-in.
Depuis l’indépendance, au lieu de devenir maîtresse de son destin, elle a été rétrogradée : à n’importe quel âge, et en toute circonstance, elle doit avoir l’aval masculin !
KABYLIE (Tamurt) - « A taqbaylit, a tigejdit, a tin i γef yebna wexxam » comme le disait si bien Slimane Azem… qui dépeint dans sa chanson la femme kabyle au centre de la société kabyle traditionnelle.
Layachi s’est aspergé d’essence et d’huile, le vendredi passé vers 20 heures, avant de se mettre le feu et de foncer droit vers le commissariat de police.
COMMUNIQUE (Tamurt) - Une centaine de personnes ont répondu à l’appel du tout nouveau « collectif lyonnais de soutien aux luttes des peuples de la rive sud de la Méditerranée », pour un rassemblement à la place Bellecoure dans le 2ème arrondissement de Lyon, aujourd'hui à 15h.
BGAYET (TAMURT) - Hier, le 04/03/2011, un jeune de 30 ans répondant au prénom de Ayachi s’est immolé par le feu devant le commissariat d’Aokas.Ce jeune issu d’une famille nombreuse et pauvre, a voulu par ce geste montrer son désespoir de se voir tout le long de sa vie dans cette situation misérable.