TAMAZGHA (Tamurt) - le groupe du musique amazigh, Tinariwen, composé d'illustres chanteurs et poètes Touaregs, vient de confirmer que le régime d'Alger a refusé de le laisser se produire en Algérie. Notre journal Tamurt qui a rapporté l'information en exclusivité avait révélé que, pour des raisons purement raciste, les membres de ce groupe ont été interdits de se produire en Algérie et en Kabylie.
KABYLIE (TAMURT) - La déception a été totale, hier, après l’annonce de la composante de l’académie algérienne de la langue tamazight aussi bien à Bgayet, qu’à Bouira et Tizi Ouzou. Certains observateurs sont même choqués de constater que des noms illustres et célèbres de personnalités ayant écrit les plus belles pages de la production littéraire et scientifique de la langue tamazight ne figurent pas sur ladite liste.
ALGERIE (TAMURT) - après de longs mois de retard et d’attente, le pouvoir algérien vient d’annoncer officiellement la composante de l’académie algérienne de langue tamazight. Bien entendu, les célèbres chercheurs militants ayant fait leurs preuves sur le terrain, sont tout simplement exclus de cette institution rattachée à la Présidence de la République. Fallait-il s’attendre au contraire ?
ALGERIE (TAMURT) – En Algérie, rien n’est moins sûr qu’une promesse faite par un dirigeant politique. Cette réalité se confirme de plus en plus. En effet, l’une des dernières promesses, voire engagements, pris et annoncée par un haut responsable algérien n’est autre que la mise en place de manière officielle de l’académie algérienne de langue tamazight avant la fin du mois de décembre 2018. Chose promise, chose non-due.
ALGÉRIE (Tamurt) - Suite aux dépassements enregistrés dans les déclarations de quelques officiels algériens à l’encontre du peuple amazigh, le député indépendant de Bgayet, Braham Bennadji, a déclaré à travers les réseaux sociaux qu’il interpellera officiellement les ministres algériens de l’intérieur et des affaires étrangères.
KABYLIE (TAMURT) - Plus que toute autre journée festive (nationale, religieuse ou internationale), Yennayer ou le jour de l’An berbère est célébré dans toute la Kabylie avec faste dans l’ambiance des grands jours et avec bien sûr, une occasion pour revisiter l’Histoire de Tamazgha : non pas celle qui commence avec l’arrivée des arabes mais celle qui remonte jusqu’à Massinisa, Jugurtha, Kahina etc.
ALGERIE (Tamurt) - Qui a dit que les Kabyles étaient racistes? Ils sont les premiers à réagir en masse et d'une manière virulente contre les Algériens qui ont versé leur racisme sans limites envers la nouvelle miss Algérie. Khadidja Benhamou, élue miss 2019, a été lynchée sur les réseaux sociaux à cause de sa peau "métisée"! Le peuple algérien est le seul qui est raciste envers lui même. Des journalistes des hommes dits de culture n'ont pas hésité à étaler tout leur racisme envers cette jeune fille.
BGAYET (Tamurt) - Ce dimanche après-midi, la ville de Bgayet était isolée du reste de la région. Il était pratiquement difficile, pour ne pas dire impossible, d’y entre ou d’en sortir. Tellement les principaux accès étaient bloqués par les bénéficiaires des différents dispositifs d’aide à l’insertion des jeunes (Ansej, Angem et autres).
ALGERIE (Tamurt) - Récemment l'Etat algérien a voulu faire croire à l'opinion internationale que les terroristes de l'Etat islamique qui ont combattu en Syrie sont interdits d'entrée en Algérie. Les décideurs ont certainement peur de la communauté internationale surtout à l'orée des élections présidentielles. Mais la réalité du terrain est toute autre. L'Etat algérien a toujours fermé ses yeux sur la circulation des terroristes qui ont combattu en Syrie et en Irak, et avant dans d'autres pays islamique, comme en Afghanistan.
KABYLIE (Tamurt) – Les graines de la haine et de l’intolérance que ne cesse de semer l’école algérienne, surtout depuis 1976 avec l’instauration de l’école dite fondamentale, dans l’esprit des enfants, ne cessent d’avoir des conséquences fâcheuses dans la société. Des conséquences qui n’épargnent même pas la Kabylie. L’islamisme qui n’avait pas droit de cité dans toute la Kabylie jusqu’au milieu des années quatre-vingt dix devient désormais une réalité dangereuse.