AZEFFOUN (Tamurt) - Ce concert fut loin du spectacle à guichets fermés que l'on s'attendait à voir pour cet honorable groupe de Rock kabyle. En effet, les bavures n'ont cessé de paraitre : Absence d'information, absence de médiatisation. Et les officiels aussi n'ont brillé par leur présence. Le Maire RCD de Azeffoun, à l'image du directeur de la maison de la culture de la ville, ont complétement ignoré l'événement. Pis encore, ces responsables ne préviennent pas le Sous-Préfet pour envisager un minimum de sécurité..
L'association Culturelle Tussna organise une rencontre avec Hamid Grine, pour présenter son dernier livre le 07.05.2011 à la maison de la culture Mouloud Mammeri,...
ALGÉRIE (Tamurt) - En l’espace de quelques jours, de hauts responsables algériens sont sortis pour démentir les allégations des dirigeants du Conseil national de transition libyen qui accusent Alger d’avoir envoyé et armé des mercenaires à la solde de Kadhafi.
La wilaya de Bouira a abrité la 7éme édition du Salon du Livre et du Multimédia Amazigh, qu’organise le HCA (Haut Commissariat de l’Amazighité) annuellement, du 17 au 20 du mois en cours.
Amizour vit, à l’instar des autres communes de la Kabylie profonde, au rythme des problèmes quotidiens que les autorités locales ne semblent pas chauds de régler dans les plus brefs délais.
DIASPORA (Tamurt) - La fédération du MAK-France, organisatrice du rassemblement, a déployé banderoles et drapeaux aux couleurs de la Kabylie, à quelques mètres de l'ambassade. La musique d'Oulahlou, où encore de Lounes Matoub, n'a pas cessé de résonner pendant les deux heures qu'a duré le rassemblement. Les pancartes, portant l'identité de martyrs du printemps noir, ont été distribuées aux présents, qui les ont hissé.
ALGER - Dix ans après les émeutes du "printemps noir" en Kabylie, les familles des victimes réclament justice et menacent d'en appeler aux instances internationales pour engager des poursuites contre les responsables de la répression qui a fait 126 morts et des centaines de blessés.
ALGER - Dix ans après les émeutes du "printemps noir" en Kabylie, les familles des victimes réclament justice et menacent d'en appeler aux instances internationales pour engager des poursuites contre les responsables de la répression qui a fait 126 morts et des centaines de blessés.