ALGÉRIE (Tamurt) - Suite au décès, le 30 octobre 1973, de ma très chère et bien aimée grand-mère, LDjouher LAICHOUR, j’ai demandé à un marbrier algérois, de graver, sur une plaque funéraire en forme de livre ouvert, son nom, prénom, ses dates de naissance et de décès, en deux langues : en arabe et en tifinagh, l’écriture de tamazight, la langue amazighe.
C’est le quatrième assassinat commis rien qu’à Alma, sans parler des vols et autres actes de banditisme. Aucun des ces meurtres, tous prémédités, n’est élucidé par les services de sécurité. Ces quatre crimes, commis en l’espace d’une année, seront certainement rangés dans le tiroir des affaires classées.