Dénoncé par son directeur, le journaliste est inculpé d’«outrage au président de la République», «abus de confiance» et «accès frauduleux dans un système de traitement automatisé de données».
Bouaziz Ait Chebib président du MAK, Mouloud Mebarki et Farid Djennadi étaient parmi la foule. « En tant que peuple opprimé, nous avons, logiquement, tenu à apporter notre soutien à un autre peuple opprimé » dira Bouaziz Ait Chebib.
Dans le procès-verbal de la police établi sur ce jeune militant qui a eut le tort de prendre avec lui un drapeau Amazigh, ce dernier est accusé d’atteinte à l’unité nationale et accusé également de séparatisme.
« Ils sont venus à bord d’un véhicule. Le chauffeur a laissé le moteur en marche. Un autre a monté la garde devant la porte, le troisième braquait les clients sur place tandis que le dernier s’emparait de la caisse », nous raconte un habitant de la région qui a assisté à la scène.
ALGÉRIE (Tamurt) - Les 500 martyrs du soulèvement armé de 1963, sous la houlette de Hocine Aït Ahmed, qui ont barrage au clan d'Oujda qui a marché sur des cadavres pour prendre le pouvoir, ne seront jamais reconnus pas les décideurs. Le pouvoir algérien vient de signifier un énième refus aux députés du Front des Forces Socialistes (FFS) qui réclament la réhabilitation des martyrs.