La grande muette ne s'est jamais exprimé pour dire la vérité. La semaine passée, c’est un chiffre de 7 terroristes éliminés dans la région d’Ath Yahia Moussa qui a été donné par l’armée. Y a-t-il vraiment élimination de terroristes ? Plusieurs questions restent sans réponses.
Les autorités locales, qui n’ont jamais daigné prendre le glissement en charge depuis des années, ont brillé par leur absence. Aucun responsable au niveau local ni élu ne s’est manifesté. Le chef de daïra a refusé même de recevoir les sinistrés.
MZAB (Tamurt) - Juste après la mise en liberté d’une trentaine de prisonniers criminels qui n’ont pas purgé leurs peines, trois Mozabites ont été tués hier dans la ville de Ghardaïa par des « inconnus ». Les trois victimes ont été tuées par balles. Leurs corps sont toujours gardés à la morgue de la ville et le pouvoir refuse de donner leur identité. La situation est dramatique au pays des Mozabites. C’est un climat de guerre qui y règne.
Avec la création d’une nouvelle structure de journalistes à Tizi-Wezzu, n'y a-t-il pas des objectifs qui peuvent s’avérer opportuns pour les saisonniers politiques avec la conjoncture actuelle ? Seuls les pseudo-correspondants de presse morbide peuvent être entraînés dans une course qui aiguise les appétits de corrompus à la solde des vermines du système.
HOMMAGE (Tamurt) - Hier, à 13h00, a eu lieu l’enterrement de la grande dame et chanteuse kabyle connu sous le nom de Chrifa au village Aït Halla, localité d’Ilmayen, région de Bordj Bou Arreridj. Sous un torrent de pluie, un millier de personnes a accompagné la courageuse femme à sa dernière demeure.
HOMMAGE (Tamurt) - Hier, à 13h00, a eu lieu l’enterrement de la grande dame et chanteuse kabyle connu sous le nom de Chrifa au village Aït Halla, localité d’Ilmayen, région de Bordj Bou Arreridj. Sous un torrent de pluie, un millier de personnes a accompagné la courageuse femme à sa dernière demeure.
KABYLIE (Tamurt) - En été 2012, la Kabylie a été incendiée. Des milliers d’hectares de végétations sont partis en fumée. Les maquis qui constituaient les champs de batailles contre le colonialisme français sont dévastés par les feux. La complicité du régime algérien est incontestable. Il s'agit d'un fascisme environnemental à l’encontre de la Kabylie qui possède un vaste territoire forestier.
