ALGERIE (Tamurt) - Ce qui a été une simple rumeur vient d’être confirmée. Le président du parti islamiste et raciste algérien du Hamas, Abderrazak Mokri, successeur d’Abou Djerra Soltani, a assisté ce matin aux travaux de la convention nationale du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) à Zeralda.
ALGÉRIE (Tamurt) - Les Algériens et la classe politique ont fini par oublier presque définitivement leur chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé à Paris depuis plus de deux mois. Personne ne parle plus de lui. Même ses détracteurs ont enterré apparemment la hache de guerre. Les rênes du pouvoir sont entre les mains, comme depuis 2005, de son frère Saïd Bouteflika.
ALGÉRIE (Tamurt) - Les Algériens et la classe politique ont fini par oublier presque définitivement leur chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé à Paris depuis plus de deux mois. Personne ne parle plus de lui. Même ses détracteurs ont enterré apparemment la hache de guerre. Les rênes du pouvoir sont entre les mains, comme depuis 2005, de son frère Saïd Bouteflika.
KABYLIE (Tamurt) - Suite à l'article paru dans la Dépêche de Kabylie au sujet de l'inhumation de la soeur de Slimane Azem, intitulé «{ La sœur de Slimane Azem enterrée, jeudi, à Agouni Gueghrane} », signé par S.M., la famille AZEM par son représentant Hocine AZEM, souhaite apporter une mise au point. En effet, l'article en question souligne que « {le directeur de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou, M. Ould Ali était parmi les présents pour partager la douleur de la famille de l’icône de la chanson kabyle, Slimane Azem. Il a d’ailleurs déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de la défunte. Cet hommage, à Na Hedjila, « est un devoir qui s’impose du fait que la douleur a touché une famille d’artistes qui a tant donné au monde de la culture amazighe,} ».
Mohamed Boudiaf n’a finalement pas pu aller au bout de son objectif, libérer l’Algérie du giron islamiste et de la mafia qui régnait en maître. Le 29 juin 1992, alors qu’il tenait une conférence des cadres dans la ville d’Annaba, l’homme placé à la tête du haut comité d’état fut assassinée au milieu d’une centaine de témoins.
ANNABA (Tamurt) - L’anniversaire du meurtre du chef de l’état algérien, Mohamed Boudiaf, aujourd'hui, à Annaba est passé inaperçu comme d’habitude en Algérie. Première enseignement à déduire de cette attitude : ceux qui l’ont tué sont toujours au pouvoir. Une manière d'entrevoir que la vérité sur l’assassinat de ce personnage historique venu en catastrophe sauver l’Algérie n'est pas à l'ordre du jour.
Deux personnes dont un Américain ont été tuées lors de violents heurts vendredi à Alexandrie entre partisans et opposants du président Mohamed Morsi à...