Les grévistes considèrent ce responsable comme seule source de tous leurs malheurs. Ils ont dénoncé avec vigueur ses agissements et dépassements envers les travailleurs et ses subalternes. Le directeur de l’Endimed, d’après les travailleurs protestataires, procède même au licenciement de certains responsables sans aucune raison ou motif valable.
KABYLIE (Tamurt) - Sept barrages, entre gendarmerie et police, provoquent déjà des embouteillages monstres rendant la vie infernale aux automobilistes. Au lieu d’apaiser la situation et de chercher une solution à ces encombrements, les autorités militaires n’ont fait qu’enfoncer le clou.
Il a été retrouvé au domicile familial qu'il occupait seul à Tizamourine son village natal. Son frère pris de panique coupa la corde dans l'espoir de lui sauver la vie mais mouloud avait déjà rendu l’âme.
KABYLIE (Tamurt) - A quelques semaines de l'élection présidentielle en Algérie, la Kabylie demeure indifférente à cette échéance du régime algérien. Rares sont les personnes qui en parlent. Tout le monde est conscient de l’inutilité de ces joutes, dont l'issue se joue en dehors des urnes.
Au total 1195 personnes ont été interpellées et présentées au parquet dont 272 ont été mises en détention préventive, trois laissées en liberté provisoire, 918 citées à comparaître et deux ont été mises sous contrôle judiciaire. Des chiffres qui font froid dans le dos et qui renseigne sur l’ampleur de la criminalité à Tizi Wezzu.
Cette fois-ci le pouvoir a opté pour une politique de chantage. Il cible directement les jeunes. Ces derniers sont entre le marteau et l’enclume. Ceux qui ont bénéficié de différents dispositifs de crédits bancaires, plus particulièrement celui de l’Ansej, sont sommés de rembourser immédiatement leurs dettes. Tous les bénéficiaires ont été convoqués surtout les jeunes kabyles qui sont harcelés par l’administration, alors que d’autres, des milliardaires mais dociles, qui ont pris la plus grande cagnotte, ne sont pas concernés pour le moment par le remboursement de leurs dettes.
Cette fois-ci le pouvoir a opté pour une politique de chantage. Il cible directement les jeunes. Ces derniers sont entre le marteau et l’enclume. Ceux qui ont bénéficié de différents dispositifs de crédits bancaires, plus particulièrement celui de l’Ansej, sont sommés de rembourser immédiatement leurs dettes. Tous les bénéficiaires ont été convoqués surtout les jeunes kabyles qui sont harcelés par l’administration, alors que d’autres, des milliardaires mais dociles, qui ont pris la plus grande cagnotte, ne sont pas concernés pour le moment par le remboursement de leurs dettes.
