Nouveau barrage fixe de la police entre Tizi-Ouzou et Alger

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KABYLIE (Tamurt) – Sept barrages, entre gendarmerie et police, provoquent déjà des embouteillages monstres rendant la vie infernale aux automobilistes. Au lieu d’apaiser la situation et de chercher une solution à ces encombrements, les autorités militaires n’ont fait qu’enfoncer le clou.

Aux dernières nouvelles, un long barrage fixe, le huitième entre Alger et Tizi-Ouzou, vient d’être implanté à Nacéria. Personne n’en voit l’utilité qui ne fait que pourrir encore plus la situation. Encore un autre obstacle à passer pour les automobilistes.

Le pouvoir a cerné toute la Kabylie avec ses barrages militaires qui laissent pantois sur leur nécessité. Même durant les années noires du terrorisme, les kabyles n’ont jamais vu un tel déploiement. « On a l’impression que le pouvoir a peur de voir les Kabyles sortir de chez eux », laisse entendre un habitant de Nacéria. Tout le monde sait que ce n’est pas pour des raisons sécuritaires. Peut-être pour les élections présidentielles, peut-être par mesure de préventions contre tout soulèvement populaire. Une chose est sûre, ce n’est pas pour protéger les Kabyles. Le pouvoir a sûrement peur de quelque chose.

R.Moussaoui

16 Commentaires

  1. pouvez vous publiet l’algerie du BTS ET SON COMPLOT CONTRE LE PEUPLE ALGERIEN

    8 août 2013

    ALGÉRIE DE L’EST, ALGÉRIE DE L’OUEST

    La traversée des Portes de fer

    (Retrouvez l’article avec illustration in braniya.blogspot)

    La chaîne de télévision qatarie « El Jazeera » AVAIT diffussé, dans le cadre de sa série « Chahidoun ‘ala el ‘asr » -Témoin du temps-, un entretien avec Ahmed Taleb, ancien ministre algérien (de l’Éducation, de la Culture, des AE…). Ce dernier révéla qu’en janvier 1992 -après le premier tour des funestes élections législatives-, il reçut plusieurs fois la visite de Abdelkader Hachani, principal dirigeant du FIS qui lui demanda de faire parvenir au président Bendjedid le message suivant : 1) le FIS se contentera des 187 voix obtenus au premier tour des élections; 2) il demandera à ses militants de faire campagne et de voter, au second tour, pour les candidats du FLN ; 3) il ne briguera pas le poste de Premier ministre -pour lequel il proposera Hocine Aït-Ahmed ; 4) il se contentera de trois portefeuilles ministériels : l’Éducation, la Justice et les Affaires sociales.

    A. Taleb, qui n’avait plus, dit-il, l’oreille du président, chargea le beau-frère de ce dernier (Abdelhamid Mehri) de la mission. Trois ou quatre jours après, Bendjedid était démis.

    Ces révélations corroborent ce que les observateurs les plus perspicaces avaient subodoré à l’époque des faits : la réalité du marché conclu entre l’armée et le FIS en vertu duquel la société serait livrée pieds et poings liés à ce dernier pour qu’il lui fasse faire une remontée dans le temps propre à la décérébrer définitivement. Tout le projet du FIS est, en effet, contenu dans cette modeste -en apparence- revendication : 3 ministères. Mais quels ministères ! L’Éducation pour plonger l’enfance et la jeunesse dans l’abrutissement religieux ; la Justice pour appliquer la chari’a ; les Affaires sociales pour l’assistanat caritatif. Économie ? Production ? Environnement ? Développement technologique et scientifique ? Les pieux salafs n’avaient pas besoin de toutes ces choses compliquées pour vivre, allons !

    La monstruosité d’un tel marché de larrons, passé dans le dos de la société civile, a de quoi révolter. Et que des hommes cultivés et civilisés comme le docteur Taleb et A. Mehri se fissent les entremetteurs des salafistes ignares et de leur projet insensé est encore plus révoltant. (Ici même, nous avions rapporté l’information suivante : une cellule du FIS démantelée par la police comprenait dix médecins et un servant de salle ; c’est ce dernier qui était le chef de la cellule.) La soumission servile des intellectuels et lettrés devant la plèbe et l’ochlocratie (du FLN ou du FIS) a fait des ravages, empêchant, entre autres, le pays d’intérioriser la nécessité de la division sociale du travail.

    [Chez nous, en effet, tout le monde s’estime compétent pour occuper n’importe quel poste. Mohamed Harbi faisait très justement remarquer que la société algérienne était devenue une société de parvenus : un président quasi analphabète, des professeurs d’université qui n’ont pas fait d’études, des PDG, des préfets, etc. qui ne doivent leur poste qu’à leur appartenance au clan, tout cela a fait oublier aux gens ce qu’il en coûte d’efforts et de sacrifices terribles pour parvenir- dans un pays « normal »- à ce niveau de responsabilité. Mais, me direz-vous, lorsque même des marxistes, ou se prétendant tels, censés raisonner en termes de classes n’ont encore que le mot peuple à la bouche, il y a de quoi désespérer.]

    C’est dire si le mal est profond. Quoi qu’il en soit, l’armée était prête à vendre à vil prix la société algérienne à des barbares. Qu’en disent donc les thuriféraires de l’armée, ceux qui n’arrêtent pas d’encenser « notre glorieuse ANP, digne héritière de l’ALN » ?

    Sauf que le pacte satanique en question a été sabordé par des militaires, direz-vous. En effet. Et précisément par un quarteron de généraux issus du cadre français (Lamari, Nezzar, Touati, L. Belkheir…), épaulés par une partie de la SM (Médiène, Smaïl Lamari) et avec l’aide discrète de la France. Pour la clarté des choses, il faut avoir le courage de relever, ici, que les protagonistes de ce deal entre le FIS et l’armée -Bendjedid, Abbassi, Hamrouche, Mehri, Taleb, Hachani, puis Zéroual (qui rendit visite à Abbassi et Belhadj dans leur prison de Blida, puis les fit transférer dans la résidence princière de Djnène el mithak), Betchine, Derradji…- était une affaire entre gens tous issus de l’est du pays. Cette remarque provoquera de l’urticaire chez certains, des dénégations indignées chez les hypocrites qui font semblant d’ignorer que le tribalisme régionaliste a perverti depuis longtemps -depuis toujours, en fait- la pratique politique des Algériens. (Dans le Majliss echoura du FIS, combien y avait-il de membres issus de l’ouest ? Un seul.) Et Hachani lui-même -lui que l’on donne comme le cerveau du FIS et dont l’oncle était colonel de la SM- n’a-t-il pas organisé le congrès du FIS à Batna ? La lourde symbolique du choix du lieu n’échappe à personne.

    Dans les livres de géographie d’antan, il était question d’une Algérie orientale et d’une Algérie occidentale, séparées par une dorsale appelée les Bibans -en arabe bibane el hdid, les Portes de fer. Deux défilés étroits séparaient l’Algérie orientale de l’Algérie centrale en sorte que le passage de l’une à l’autre n’était possible que contre paiement d’un droit aux tribus gardiennes. Les Turcs s’en acquittaient pour passer à l’est et le maréchal Vallée, en compagnie du duc d’Orléans, franchit les Portes de fer en 1839, en violation du traité qui reconnaissait à l’émir Abdelkader la pleine souveraineté sur l’Algérie occidentale et centrale. Ce forfait ne fut possible que grâce à l’entremise du bachagha El Moqrani qui persuada les tribus gardiennes des défilés de laisser passer la colonne française. C’est ainsi que l’émir ne put faire, comme il en avait le projet, jonction avec l’est du pays.

    Cette trahison historique, le bachagha El Moqrani en paiera le prix fort -très fort- quand les Français se retourneront contre lui. (Lors de la grande révolte des Kanaks, son frère Boumezrag, banni en Nouvelle Calédonie, passera lui aussi aux Français et participera à la répression des insurgés autochtones).

    Au demeurant, la réalité des deux Algéries était déjà présente dans l’antiquité, au temps des royaumes numides : le royaume massaéssyle de Syphax couvrait toute l’Algérie occidentale et centrale ; celui, massyle de Massinissa, l’est algérien. Et quand Syphax passa alliance avec Carthage pour contrebalancer la puissance romaine, Massinissa passa, lui, à Rome. S’il avait rejoint l’alliance carthaginoise, peut-être que la face du monde méditerranéen en aurait été changée…

    Il appartiendra à la colonisation française d’unifier l’Algérie et de lui donner ses frontières actuelles. La guerre d’indépendance (pour la libération, on repassera), avec ses planqués d’Oujda et de Ghardimaou, réactivera le tribalisme régionaliste et la persistance d’une Algérie coupée en deux qui se présente encore devant nous sous les espèces du BTS ( Batna-Tébessa-Souk-Ahras) et du NTM (Nédroma-Tlemcen-Msirda).

    Le passage des Portes de fer

    Le passage des Portes de fer

    Réponse

    itham dit :
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    22 janvier 2014 à 13:33

    voici un 2eme article sur le BTS

    Le complot du BTS pour la domination d’ALGER

    Le contrôle du pouvoir par le BTS
    chadli, bendjediid davantage connu pour ses frasques de jouisseur
    invétéré que pour ses qualités de dirigeant politique, gauche, mal à l’aise en public et piètre orateur, présente au premier abord un profil idéal pour les différents clans, heureux d’avoir mis la main- sur l’homme qui ne leur portera pas ombrage.Beaucoup regretteront ce choix.

    Contrairement à une image publique désastreuse, chadli
    fera preuve d’un engagement méthodique et d’une ténacité sans
    faille pour imposer au pays un virage inimaginable à la mort de
    boumédiene,
    pris en charge par les milieux d’affaires conservateurs
    liés au “trabendo” (économie parallèle), il s’attaquera d’abord à l’héritage
    de son prédécesseur en du défunt président, il place ses alliés à tous les niveaux
    décisionnels:
    dans l’armée, le parti unique,la petite et grande administration,
    les médias le secteur économique puisant ses hommes dans
    l’axe batna Tebessa,Souk-Ahras/skikda), villes de l’Est algérien.
    Cette chasse aux sorcières permettra à chadli et ses hommes du BTS de contrôler tous les centres de décision.

    Ensuite, il monte au créneau pour mener tambour battant une large campagne
    Occupant l’espace politique et médiatique, utilisant massivement les moyens de l’administration et des services de sécurité contrôlés par les hommes du BTS

    contre le «boumediennisme» accusé de tous les maux de l’Algérie et qui en réalité n’était qu’une des étape du complot BTS et ses parrains depuis la mise en place de boussouf (bts) à la tête du commandement de l’algerie (Rappelons que boumediene était un BTS )

    Les valeurs de “l’infitah” (l’ouverture économique), de la
    liberté d’entreprendre, du mérite et de la responsabilité individuelle
    remplacent celles de l’égalité, de la solidarité et du destin collectif.
    Sans investir un dinar et en se servant grassement dans les caisses
    dc l’Etat, des entreprises et des banques publiques, les hordes du BTS
    gravitant autour du système se saisissent sans honte sans vergogne de cette aubaine pour
    exercer leur “Ch ‘tara  » en fait leur trahison envers l’algerie (s”enrichir sans vergogne).
    La nouvelle classe BTS émergente issue de la rente ct de la
    corruption d’Etat et ses alliés islamistes, représentants des intérêts
    féodaux et pré capitalistes re-tardataires du secteur privé, affichent
    sans complexe leurs richesses et leurs objectifs, sans se soucier de
    l’opinion nationale et des conséquences sur la stabilité du pays notamment dans l’algérois sur lequel ils ont mis l’assaut à l’instar d’une colonisation de peuplement en détournant le
    foncier de tous les alentours d’alger mettant les bouchées doubles dans les zones
    de l’ouest d’alger

    Subitement, la structure sociale dirigeante composée exclusivement de fonctionnaires, de petits paysans, d’ouvriers et d’employés du secteur industriel et agricole public change de
    nature en s’ouvrant largement aux représentants des spéculateurs et du secteur privé non productif le contrôle de l’essentiel des pouvoirs tombe entre de nouvelles mains.

    C’est pourtant un véritable séisme politique passé presque inaperçu en Algérie et à l’Étranger. Les
    les éléments socialisants sont priés de rejoindre les rangs ou de quitter les arcanes du systeme Alléchés par la perspective du partage de la rente ou par calcul politique une bonne partie d’entre eux prendront le train en marche

    Ce spectaculaire revirement, mal vécu par la grande
    majorité de la population habituée pendant plus de deux décennies aux discours populiste égalitaristes favorise l’installation de nouveaux rapports sociaux producteurs de
    haine sociale.
    l’éclatement du modèle social appuyé sur la tradition familiale mis en plaace sous Bou cdicnne laisse place à un colonialisme de peuplement de la capitale et ses alentours par des hordes du BTS caractérisé par l’arrivisme arrogant ,grossier, frénétique et haineux du BTS contre les populations du centre du pays pour ne pas dire kabyle

    La troisième phase d”une démarche soutenue par les pays
    occidentaux intéressés par les hydrocarbures et le marché
    algériens, consistera à démolir le puissant secteur économique
    d`Etat sans engager la moindre action pour son éventuelle
    réhabilitation.
    Chadli met fin à l’investissement public, lance une vaste
    opération de démembrement de l’imposant secteur industriel sous
    le couvert d’une restructuration destinée officiellement à
    “améliorer l’efficacité des entreprises publiques” et désorganise les
    coopératives agricoles par une série de mesures contradictoires.
    Construites sous l’ère de Boumedicnne, les unités de production
    industrielles et agricoles assuraient le plein emploi et la satisfaction
    des biens de consommation élémentaires. Si beaucoup

    connaissaient de grosses difficultés, de nombreuses entreprises du
    secteur du textile, du bâtiment, de l’agro-alimentaire et de la
    pétrochimie qui alignaient des performances respectables ne sont
    pas ménagées D’ailleurs grâce à leur compétitivité , plusieurs
    grandes entreprises publiques algériennes arrivaient à se placer sur
    les marchés africains, maghrébins et les pays du Golfe. Durant une
    décennie avec un taux de production croissance annuel moyen de 7,5%
    et une augmentation de la production industrielle de près de 9 % par an
    le système productif algérien avait atteint sous Boumedienne un
    niveau qui se rapprochait de celui de certains pays dits émergents de l’Asie

    intégrale ,menée à marche forcée, l’approche idéologique de chadli a
    démantelé et permit la liquidation de l’appareil productif national.
    Une casse sans alternative qui a été programmée et pilotée directement depuis sa tour
    et ses relais du BTS mis à tous les niveaux
    les investissements publiques les sociétés nationales bloqués
    démembrées, l’agriculture paralysée, le développement
    s’arrête net, le pays amorce son déclin et le peuple est livré poins et mains lié à
    l’emprise de l’émergence d ‘une nouvelle classe BTS qui a conquis l’algerois et ses alentours
    à l’instar d’un siégé par de nouveaux colons

    Conséquence immédiate attendue par ces milieux grossiers ,arrivistes , ignares et
    chadlistes, la pénurie organisée par les cercles mafieux du
    “trabendo” s’aggrave, entraînant des tensions sur les produits de
    large consommation. C’est le “programme anti-pénuries” (PAP),
    parade préparée par le régime pour répondre aux besoins des
    populations et qui permettra à de nombreux proches et alliés du
    clan de chadli de s’improviser “importateurs” et de mettre en
    musique le nouveau credo idéologique algérien : “il n’y a pas de
    honte à gagner de l’argent”. Gouffre sans fond, le PAP vide les
    ressources disponibles dans les caisses de l’Etat et donne ainsi
    naissance à une nouvelle classe d”intermédiaires rentiers,
    totalement tournée vers une accumulation effrénée et peu soucieuse
    du développement du pays et du maintien des équilibres sociaux.

    Une classe qui .va grossissant en nombre et se renforçant en
    influence dans l’algérois , au fil de la nouvelle politique d’encouragement des

    familles à l’accession à la propriété privée” décidée par le comité
    central du FLN, du 9 janvier 1980, présidé par chadli bendjedid
    secrétaire général du FLN. Ce même Comité central votera, au
    cours de sa session du 24 décembre suivant la 4eme du genre
    depuis le congres extraordinaire qui a suivi la mort de
    boumedienne, l’application du fameux article 120 qui oblige les
    « cadres de la nation » les responsables des organisations syndicales et des organisations de masse à adhérer au FLN de la trahison ,au FLN du crime organisé des vrais maquisards par leur assassinat ou leur exclusion , au FLN de la corruption ,du crime organisé économique honni et rejeté

    Cet article vivement contesté visant à verrouiller le système
    permettra au FLN de “nettoyer” appareil d’État ,le secteur économique ,
    le secteur universitaire ,le système judiciaire (organisation de concours arabisés ouverts aussi aux carriéristes du FLN de la magistrature , notariat )le champ culturel ,les médias les organisations de masse
    Un génocide froidement organisé contre des éléments kabyles par millions de personnes francophones et naturellement (géographie) concentrés dans l’algérois et les villes du centre

    Les répercussions de l ‘article 120 sur les performances de
    secteurs entiers de l’activité nationale notamment l’économie ,
    l’université et la culture se font lourdement sentir à la suite du
    remplacement de centaines de cadres formés et expérimentés par
    des réservistes incompétents issus du FLN et de la mouvance islamo-baathiste

    Le long et criminel processus d’étouffement des élites des régions centres kabyles engagées dans le feu de la guerre de libération nationale touche à sa fin.

    Pour donner le change, le nouvel homme fort de l`algérie libère ahmed ben bella et le colonel tahar zbiri, les deux plus vieux prisonniers politiques algériens, et lève l’interdiction sur la détention de devises étrangères qui profitera à ses acolytes pour dévaliser le trésor publique e t l’autorisation de sortie du territoire national ,Ce dernière arrivera à point nommé quand sera organisée la déportation camouflée sous forme de fuite : organisant les hordes islamistes contre l’algérois ils vont déplacer des millions d’algériens vers la france et le canada pour permettre aux BTS de s’emparer d’alger

    Toutes ces décisions sont chaleureusement saluées par la presse et les chancelleries françaises et occidentales, sans que soient relevées l’aberration de l’article 120 et les coupes sombres dans les
    budgets sociaux. En effet, les annonces de “libéralisation” du système sont accompagnées non seulement par l’adoption de l’article 120 mais aussi par une série de mesures d’économie0

    Après le stratagème de la mise en place de bouteflika pour se faire oublier eux et leur crime contre la kabylie et l’algerois .La parenthese bouteflika devait etre courte puisque bentifis était en cours sauf que boutef les fait suer depuis 2004
    voilà que le BTS revient toute honte bue en mettant Bentifis dans l’arène sans nous expliquer où puise t il ( ils) sa légitimité après tant de trahison par le FLN et les barons des généraux du BTS de la haine ,de la trahison contre le peuple algérien

    Réponse

    • Les coupeurs de tete verts sont deja sur le terrain en Kabylie en trein d’islamiser la population. Cet ete je n’ai jamais vu autant de femmes voilees et en tchador dans les villes de Kabylie. Les innombrables mosques diffusent la wahabisme a longueur de journee, les hommes courent vers les precheurs pour les prieres durant le ramadhan comme des automates et tout le monde est devenu hamdoulilahiste.
      Les emules du FIS sont sur le terrain aides par les milliard du sinistre de la religion

    • Certes votre analyse monsieur est plus qu’adéquate; probante et incitative à continuer à égrainer le passé. les trahisons sont multiples et leur conséquence est le prix de la fatale déloyauté à la patrie. Que demeure-t-il comme patriotisme au peule de cette nation? Rien, tout le monde est absorbé par cette infernale logique de moi et de mon clan. Le système a fait que seuls les plus léger en vertus soient susceptible d’être accepter dans ses rouages, pour bénéficier de la lois du silence contre ses exactions; lois du signe qui n’a rien vu, rien entendu et ne dit rien. vivez heureux les singes!
      Voila un paragraphe de mon prochaine Roman nommé « le poids de la déloyauté »:
      L’innocente me semblait telle une vache à traire dont jouissaient sans scrupules tous ses fils déloyaux. Quelle horreur que de traiter sa mère-patrie de la sorte, de vouloir détruire son ordre, tarir ses mœurs et vider ses richesses ! Certains l’usaient pour satisfaire leurs sournoiseries, d’autres en abusaient pour servir leur népotisme, encore plus pour rendre saillantes leurs cooptations, et d’autres y sèment de toute espèce de vices, etc.… Continuellement, je me sentais, comme je le suis toujours submergé par un singulier dépit, que ma patrie est vue comme une nation sous-développée, son peuple arriéré, formé dans sa majorité de terroristes et de coupe-jarrets, alors qu’il existe en son sein, des médecins de renommée, des ingénieurs inouïs, des banquiers compétents et probes, des enseignants honnêtes et bien instruits, des maçons, des peintres, des plâtriers, des agriculteurs, même quelques commerçants, gagnant leurs modestes fortunes à la sueur de leurs fronts, que dirais-je encore de ces militaires patriotiques, de ces policiers justes et de ces gendarmes et douaniers intègres, de ces religieux aimant juste Dieu et aspirant simplement à son paradis. Hélas ils n’ont rien pu faire devant la médiocrité qui enveloppait toutes les institutions de la patrie, devant la corruption qui détruisait toutes les bonnes mœurs de celle-ci, devant l’hégémonie des politiciens qui ne rêvaient que de faire de ce peuple des esclaves au service de leur tyrannie. Quelquefois, je me demandais, quels usages avais-je faits d’elle moi aussi ? Là, je me suis rendu compte qu’il était temps à faire ce regard rétrospectif et découvrir qui je suis ! Certes, aucun libertinage ne peut être attaché à ma vie, mon atavisme m’avait imposé depuis toujours, dans mes actes et dans mes relations avec mes rencontrés, la prudence d’un ingénu et la vigilance d’un candide, hélas, ceci seul m’a sauvé des souillures des perfides qui m’entouraient, sans m’apercevoir que les premiers coups qui m’étaient donnés furent pour me soumettre à leur déloyauté et abâtardir mon âme à admettre les jougs insensés qu’on avait tenté de lui imposer, pour devenir dégénérée à l’exemple des leurs et faire de moi un servile à l’exemple des conquis qui faisaient mon environnement. Conduit, par mon tempérament d’ingénu, je pensais que ces choses insensées, qui tombaient en surplomb sur moi, n’étaient dues qu’à mes imprudences, que je devais me trouver une échappatoire pour les éconduire de ma vie. Cet état m’inspira de me mettre en marge de mon environnement, de devenir contemplateur et de la société et de moi-même dans celle-ci, de vivre dans une sorte d’asile, où mes journées sont faites pour l’observation de la fourmilière qui m’entourait, et mes nuits sont faites pour transcrire tous mes constats et les soumettre aux dissections qui étaient à ma porté. Les tumultes de mes journées me donnaient le sentiment de vivre aux côtés de mes semblables, mes cardages de nuits, me déculpabilisaient des choses insensées qui s’exécutaient sous ma responsabilité, sans que j’y puisse y mettre un terme dans l’immédiat. Je voyais les torrents de la médiocrité qui précipitaient toute la patrie dans de macabres escarpements. Cette disjonction entre ma vie de société, en étant un acteur parmi mes semblables, et celle qui lui succède, en temps opportun, en tant que contemplateur, versait sur moi un baume si efficace que tout ce qui m’entourait ne m’intéressait que dans cette perspective de contemplation, et quoi qu’ils fassent, mon environnement était devenu pour moi une sorte de scène, où des bateleurs exécutent avec facétie des rôles bien déterminés ; ainsi, et le bien et le mal qu’ils exécutent, y compris désormais celui sur ma personne, m’est indifférent de leur part. Cette habitude de m’extirper de ma peau donnait à mon âme un sentiment d’être indépendante de mon corps, pour ne plus sentir ses maux et m’apprendre par étapes à comprendre que le bonheur est une chose qui n’a rien à voir avec la fortune, que son vrai stimulant réside au plus profond de nous-mêmes, sans aucun lien avec les choses qui nous entourent, et personne ne peut rendre heureux celui qui ne découvre pas en lui cette substance. Mon âme a déjà pris goût à ces délices internes que lui procure cette habitude de se dissoudre dans la contemplation. Ces ravissants moments où je ne me sens plus moi-même, ces transports inénarrables d’observateur y compris de soi-même dans le tumulte de la société, sont des jouissances que je devais à mes persécuteurs : sans eux je n’aurais jamais été en mesure de déterrer ce gisement distingué.

    • Ce genre de remantisme lettraire bouré ambiguïté ne peut faire avancer le projet de la kabylie vers la libérté, loin de la dictature du darki ou chourti{{ {(les gourilles qui se met inutilement aux melieux de route)} }}
      Vous sous titré un film arabe en francais, et surtout vous occultez le sujet qui domine actuellement la sceine politique en kabylie: {{ {Tilali-i- temurt Laqvayel} }}

    • et que fairais tu, toi si des gens comme toi prennent le pouvoir?
      peut etre pire que ce que ces gens que tu viens de critiquer ont fait.

  2. @R Moussaoui,

    Nous devons faire un effort quand à la réappropriation des noms de lieux kabyle.
    Comme tu dois le savoir le nom de Nacéria a été dicté par Boumédienne pour rendre hommage à son maître d’Egypte Gamel Abdennasser. Le vrai nom et complet de Nacéria est:

    « Lâziv n zamum »

    Merci

  3. je vous posté 2 articles a publier séparement
    sur les complits du BTS contre les kabyles
    je ne comprends pas pourquoi vous les publier comme des commentaires
    je vous remercie de bien vouloir procéder à la rectification set de les publier sous formes d’articles

  4. Des kabyles analphabetes persistent encore et transcrivent et deforment la ville des genets de TIZI-U-ZEZZU en utilisant la phonetique purement arabe TIZI-WEZZOU.
    Alors, devinez la suite de votre allegeance a l’ideologie arabe, Messieurs Dames!

  5. azul, je voudrai faire une remarque, pourquoi vous ne couvrez pas les yeux de ce gendarme, comme vous avez l habitude de faire pour qlq autres artcles precedent ?

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