La Slovaquie interdit la construction de mosquées

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La Slovaquie refuse l'islam
La Slovaquie refuse l'islam

SLOVAQUIE (TAMURT) – Après la Chine, c’est au tour de la Slovaquie de ne pas considérer l’Islam comme religion. Une décision radicale a été prise par le parlement de ce pays européen envers la pratique de la religion musulmane. Il est désormais interdit de construire ni mosquée ni salles de prières en Slovaquie.

Les célébrations de fêtes religieuses à caractère islamique sont strictement interdites. Les mariages religieux ne sont pas aussi reconnus par la loi. En un mot, la pratique de l’Islam est interdite en Slovaquie. Un pays qui compte environ 50 000 musulmans. Les Slovaques ont peur de voir leur pays subir ce que la France et la Belgique viennent de vivre. C’est pour cette raison qu’ils sont très méfiant envers la religion musulmane.

On dit même que ce pays ne délivre aucun titre de séjour aux étrangers de confession musulmane par mesure de sécurité. Les arguments évoqués par les députés slovaques qui ont voté cette loi, c’est qu’aucun pays musulman et arabe ne tolère la pratique d’une religion autre l’islam. Un argument fort et qui suffit à lui seul à convaincre le législateur Slovaque.

Ravah Amokrane

4 Commentaires

  1. BRAVO à vous les slovaques ! Nous en France on est en train de le payer cher, protégez votre belle nation au sein même de sa constitution, afin que cette loi ne soit JAMAIS changé ?♥️✝️

  2. 5000 musulmans en slovaquie, c’est comme si l’algerie interdisait la construction de temple Bouddhiste, c’est un non événement.

  3. Pas de liberté de culte pour les ennemis de la liberté. Le harcèlement moral, administratif et juridique, les agressions physiques que subissent nos concitoyens chrétiens sont inadmissibles. La police politique et les RG, les empêchent de pratiquer librement leur culte sous couvert de manque d’agrément que l’administration refuse de délivrer. Ah, Si tous les pays européens appliquaient la réciprocité !!!

  4. Le cas d’Afrique du nord est emblematique: on islamise, puis arabise le peuple et puis les indigènes doivent mendier l’officialisation de leur langue comme deuxième langue chez eux. Le prix du songe se paie comptant.

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