BOUGIE (Tamurt) – Les habitants du village périphérique d’Ighil Oudjilbane ont organisé, dimanche matin, un rassemblement devant le siège de la wilaya pour exiger le raccordement de leurs habitations au réseau électrique et à celui de l’alimentation en eau potable.
Pour illustrer leurs revendications, ils n’ont pas trouvé mieux que d’exposer à l’entrée du siège de la wilaya une dizaine de bidons vides sur lesquels ils avaient déposé des paquets de bougies. Histoire de dire que la lumière et l’eau font défaut dans leur quartier pourtant situé à quelques kilomètres du lieu du rassemblement.
Outre ces revendications, les protestataires demandent également la réhabilitation de la route menant à leur village qu’ils ont d’ailleurs fermée il y a quelque mois de cela. Masi à l’époque le maire de Bougie s’était déplacé et leur avait promis de redoubler d’efforts pour répondre favorablement dans les meilleurs délais à leurs revendications. Depuis rien n’a été fait et ces derniers ont décidé de passer à une autre action plus corsée. Mais va-t-on les écouter cette fois ci ?
A quelques encablures de ce lieu, ce sont les travailleurs de l’usine de l’ICOTAL qui ont observé un débrayage d’une journée pour réclamer le renouvellement de leur section syndicale qui semble être conditionnée par l’imposition par la tutelle syndicale d’éléments non représentatifs. Mais pourquoi la centrale syndicale au niveau de la wilaya s’immisce-t-elle dans l’élection de représentants propres aux travailleurs d’une usine ? Cette unité serait sans section syndicale depuis le départ à la retraite de trois anciens membres de la défunte section syndicale.
Dans le secteur de la formation professionnelle, les travailleurs du centre Lekhal Younes ont menacé, via une déclaration, d’une grève cyclique à partir de ce lundi et ceci à raison de deux journées par semaine. Cette décision a été prise suite à l’entêtement du directeur de wilaya de la formation professionnelle de vouloir déduire deux logements des six, réalisés au profit du personnel du centre Lekhel Younes, pour les attribuer à deux fonctionnaires de sa direction de wilaya. Ce bras de fer dure depuis plusieurs mois.
Amaynut
Des arrivistes qui feraient mieux retourner dans leur bled d’origine. Rien à cirer.
Ce qu’il ne faut pas oublier de dire que dans la ville de vgayethe des constructions illicites sortent de terre comme des champignons, aucun plan d’urbanisme, ni plan architectural, cette coquette ville a perdu de son charme d’antan, elle est devenue méconnaissable, complètement défigurée. Je la pleure, même ce que la france a laissé comme bijou architectural part en ruines, c’est lamentable ! !! Ces gens construisent leur maison sans aucune autorisations et aucun souci d’esthétisme, une fois baties ils demandent auprès de
l’état des ralliement d’eau potable, installation de gaz et d’électricité ou construction de routes. Ce pays est gouverné par des corrompus et habité par un peuple qui n’a aucun savoir vivre. Une populace! !!
construction de route.