BOUGIE (Tamurt) – Les filles sous le choc étaient obligées de couvrir leur corps de draps. Certaines d’entres elles seraient encore sous le choc.
Il a été mis fin à cette agression après l’intervention seulement de deux agents de sécurité et quelques étudiants courageux. Ce n’est qu’après que les policier se seraient déplacés.
Quant au directeur de la cité U mixte, M. Hamza Bouabdellah, que le journal El Watan a contacté par téléphone, il a eu une autre version. Selon ce dernier, il affirme que les faits ramenés sont exagérés et que qu’il n’y a nullement lieu de les amplifier. Il affirme qu’il n’y a pas eu d’agression et qu’il s’agit au plus « de deux étudiants qui étaient en état d’ébriété et dont les agissements ont été maîtrisés après l’intervention des agents de sécurité et des étudiants ». il ajoute que cela est dû à «un malentendu» né au sein d’un couple d’étudiants.
Selon des informations fiables parvenues à la rédaction de tamurt.info, les deux versions, mais encore plus celle du directeur de la cité « U », semblent inexactes. Selon nos informations recueillies auprès d’ une vingtaine de jeunes de filles résidentes à la cité en question et de témoins oculaires, les intrus-agresseurs seraient des militaires venus d’une caserne se trouvant pas loin de la cité «U» mixte d’Irayahen.