TIZI-OUZOU (Tamurt) – C’est vers 13h30 que le fourgon, qui devait transférer des prisonniers de la geôle de Tizi-Ouzou vers celle de Draa el mizan, a été prit dans une embuscade qui aurait pu coûter la vie aux passagers si ce n’était le sang-froid et la réactivité du chauffeur qui a accéléré et foncé droit devant lui. Deux des gardiens pénitenciers s’en sortent blessés.
La voiture de police, sensée escorter les prisonniers, a distancé le fourgon cellulaire d’au moins deux kilomètres, ce qui n’est pas du tout conforme aux règles de sécurité. Et le pire, c’est que, lors de la fusillade, elle n’a même pas fait demi-tour pour repousser les assaillants. Pourquoi?
Autre chose, d’après des témoignages et vu les impacts de balles dispersés un peu partout sur l’engin motorisé, l’intention du commando n’était pas de faire délivrer les prisonniers mais de tuer l’ensemble des passagers, y compris les prisonniers. Ce qui fait démentir la thèse qui avance comme quoi cette embuscade est une tentative de délivrer ces derniers.
Par ailleurs, ce genre d’opération se fait dans une discrétion absolue. Donc, à part ceux qui ont décidé de ce transfert et ceux qui sont appelés à l’effectuer, personne ne devait être au courant de ce qui allait être fait. Comment ce commando a pu être informé de ce transfert, de son itinéraire et du jour de son exécution?
Cette affaire nous rappelle tristement « le printemps noir des cellules », une période où plusieurs pénitenciers (Ceux de Serkadji, Kherrata et Aïn M’lila notamment) ont été incendiés. Suite à quoi des émeutes violentes ont eu lieu au sein de ces prisons. C’était en 2002.
Ou encore, en 2001, lorsque des prisonniers transférés de la prison de Tizi-Ouzou vers une autre prison ont trouvé la mort par asphyxie. Officiellement, on a oublié d’ouvrir les bouches d’aération du fourgon cellulaire. L’enquête que l’Assemblée Populaire de Tizi-Ouzou a voulu mené n’aboutit pas. Était-ce vraiment une simple bavure?
Quelques mois plus tard, on fait monter des prisonniers de la même prison dans un fourgon pour les transférer ailleurs. 15 minutes avant l’heure de départ du fourgon, les responsables de la prison ont reçu un télégramme où l’ordre leur fut donné d’annuler le transfert et de faire regagner les prisonniers dans leurs cellules. Selon des sources bien informées, une embuscade leur aurait été préparée sur la route. Un haut fonctionnaire, loin de cautionner les crimes et ayant pris son courage à deux mains, aurait pris la décision de contrecarrer le plan diabolique des tueurs.
A cette époque, et suite à tous ces évènements, on disait que c’était « un complot » contre Ahmed Ouyahia pour le pousser à démissionner du poste de ministre de la justice.
Serait-ce la même stratégie criminelle qu’on tente de mettre en pratique contre l’actuel ministre algérien de la justice, Tayeb Belaïz qui, dit-on, commence à faire peser son autorité, donc à déranger un clan de la mafia tapie dans l’ombre ?
Cette hypothèse vaut son pesant d’or. En effet, la guerre de clans fait toujours rage à la tête du pouvoir algérien. Ils n’hésitent pas à assassiner des innocents pour arriver à leur fin. Matoub Lounes en a été victime, ainsi que d’autres personnalités. Les algériens en souffrent au quotidien, particulièrement la Kabylie, région de toutes les tensions.
Said Tissegouine
salutations à l’auteur,
il manque une donnée pour analyser cette tentative d’assassinat : qui sont ces détenus ? pour quels faits ont-ils été condamnés ?
quant à ça : { {{«A cette époque, et suite à tous ces évènements, on disait que c’était « un complot » contre Ahmed Ouyahia pour le pousser à démissionner du poste de ministre de la justice.»}} }
ceux qui ont émis cette hypothèse sont des naïfs impénitents. car dans la dictature islamo-arabiste algérienne, un ministre ne démissionne jamais ! c’est ainsi dans toute l’islamo-araberie de la planète ! un ministre, on « le démissionne » ou on le trucide !
et puis, depuis quand peuvent-ils « toucher » à la créature du DRS ?… Ouyahia est «l’homme des Généraux». cela n’est pas un secret. Boutef se le fadera jusqu’à la mort et l’islamiste Belkhadem aussi !
{{A TIZI OUZOU, LES HABITANTS D’ATTOUCHE SONT EN COLÈRE}}
{{On bloque toujours les routes et les APC}}
05 Août 2010 – Page : 7
{{L’émeute reste l’unique moyen de revendication}}
{{Assainissement, bitumage des pistes et éclairage public. Ce sont là, quelques revendications des populations de Tizi Ouzou.}}
La RN 72 reliant la ville de Tizi Ouzou au littoral est restée fermée durant toute la matinée d´hier. A l´origine de cette situation, les habitants du grand village d´Attouche, situé à cinq kilomètres du chef-lieu de la commune de Makouda, qui manifestaient leur colère face au mépris affiché par les autorités locales quant à leurs doléances. Devant le siège de la mairie qu´ils ont fermé également, les villageois s´étonnent du silence des responsables locaux, maintes fois saisis au sujet de la réfection de la seule route qui relie leur village aux autres communes. Les demandes adressées aux élus locaux et services concernés n´ont pas cessé depuis des années, mais aucune réponse n´est venue expliquer le refus.
Hier donc, ce manque de communication a engendré la fermeture de la RN 72 reliant Tizi Ouzou à Tigzirt. Alors que les villageois n´ont trouvé que ce procédé pour se faire entendre, les estivants qui se rendaient sur les plages de cette ville littorale ont dû rebrousser chemin. Ce genre de situations, doit-on le mentionner, provoque des dommages collatéraux inéluctables. Ce sont d´abord ces paisibles usagers de cette route au trafic très dense qui paient le prix fort. Aux cotés des touristes, ce sont les citoyens de toutes les communes du nord de la wilaya qui ont été empêchés de se rendre à leurs lieux de travail. Une anarchie indescriptible régnait hier matin dans les communes de Boudjima, Mizrana, Iflissen, Tigzirt et Makouda. Les voyageurs ne savaient plus quelle route prendre pour aller à Tizi Ouzou. Alors que certains ont contourné la RN72 pour passer par d´autres voies, d´autres ont carrément loupé la journée. Le transport a connu une grande perturbation à cause de cette action.
Sur un autre plan, ce sont les commerçants de la ville de Tigzirt qui ont été sanctionnés, alors qu´il ne reste que quelques jours avant le Ramadhan. C´est une sorte de coupure, née la saison estivale, puisqu´ils voient la saison amputée d´une journée. Bien avant, ils se plaignaient déjà de la petite durée limitée qui leur est offerte. Bien qu´ils aient récupéré ce manque à gagner sur le dos des estivants, il n´empêche qu´ils ont été gravement sanctionnés en voyant des milliers de touristes rebrousser chemin.
Par ailleurs, il est à rappeler que ce genre de manifestations est devenu quotidien. Banalisé, le recours à ce type d´expression est devenu systématique. Toutefois, les citoyens du village Attouche ne sont pas les seuls responsables dans ce qui s´est passé hier. Avant d´arriver à cette extrême, ils ont adressé de multiples lettres et demandes d´audiences aux responsables locaux. Mais rien ne justifie le silence des destinataires de ces réclamations. Il est inconcevable qu´un citoyen ferme une route si le dialogue est engagé sur ses problèmes. Ce ne sont pas des solutions toutes faites que les villageois recherchent, mais plutôt de la considération et de l´écoute. Les populations sont prêtes à contribuer à la recherche de solutions.
En plus d´être une mauvaise surprise pour les vacanciers de la région de Tigzirt, les villageois d´Attouche ne sont pas particulièrement heureux de bloquer la RN 72. Ils auraient préféré vaquer à leurs occupations habituelles. Mais encore une fois, c´est la revendication du bitumage de la route qui mène de Sidi Naâmane vers la Crête, au nord de Makouda, qui les a fait sortir de leurs gonds. Les estivants, quant à eux, ont été contraints de faire un détour par Sidi Naâmane ou par Ouaguenoun pour rallier la côte. La grogne sociale en cette période estivale n´est pas près de s´estomper. En effet, au même moment, les habitants de Makouda ont procédé à la fermeture du siège de l´APC. Le motif de cette protestation de rue a trait aux conditions de vie des habitants, selon des manifestants. Ces derniers sont en attente de travaux d´assainissement, de bitumage des pistes et d´éclairage public.
Kamel BOUDJADI (l’expression, quotidien colonial arabe d’Alger)
Azul, j espere ne pas etre hors sujet,voila lien pour s informer sur les IMAZIGHEN.
http://www.scribd.com/doc/35228340/Historical-Dictionary-of-the-Berbers-Imazighen-Hsain-Ilahiane
{{Je vous propose d’acheter ce livre « Traité des trois imposteurs : Moïse, Jésus, Mahomet » pour trouver qui est a l’origine du terrorisme sous toutes ses formes en Kabylie et en Algerie}}
{{Mot de l’éditeur sur « Traité des trois imposteurs »}}
Ce texte étonnant d’audace et presque provocateur connut un succès extraordinaire durant tout le XVIIIe siècle. Il fut édité dans toute l’Europe, on le recopia à la main des dizaines de fois, la reine Christine de Suède offrit une petite fortune pour en obtenir un exemplaire et l’on discuta sans fin de l’auteur probable. On l’attribua même à Frédéric II de Prusse. La police parisienne, alertée, finit par arrêter les libraires qui le vendaient.
La raison en était simple : c’est que, selon le mystérieux auteur visiblement familier de l’œuvre de Spinoza, toutes les religions étaient des fables entretenues par des imposteurs, de mèche avec le pouvoir politique pour tyranniser le peuple.
En réalité, il datait de la fin du XVIIe siècle et il s’inspirait probablement des archives de Spinoza, conservées aux Pays-Bas, après la mort du philosophe. Méconnu du grand public, voire tenu sous le boisseau pour des raisons évidentes, il démontre qu’il exista un siècle avant l’Europe des Lumières un puissant courant libertaire, celui-là même qui aboutit à la Révolution française.
L’importance historique du Traité des trois imposteurs ne peut cacher sa modernité et son actualité dans ce XXIe qu’assombrissent déjà les conflits religieux.
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Fiche détaillée : « Traité des trois imposteurs »
Auteur L’esprit de Spinoza
Editeur Max Milo
Date de parution janvier 2004
Format 14 cm x 21 cm
ISBN 2914388063
Illustration Pas d’illustrations
Nombre de pages 165
Le gouvernement a doté ses services de securité avec du materielle sophistiqué ,et cela malgré l´incompétence de la compozotes humain qui forme ces services(police-darki), la majorité d´entreux ignorent comment se servire de ce matriele tout comme dans les pays sous devlopé. Cette etat de fait est due au non savoir-faire de leurs formateurs(avujadhen) qui sont chargé de former un service public moderne telque la police . Comme vous le savez la montalité algerienne,, imité un peut les pays avancé, ca fait toujours soingé l´image, dans bute d´attirer le regard des citoyens(les flics roulent en voiture digne d´une vrais darki alors que les chameaux sont aux chamage dans sude du pays), pour que ils se sentent fière du travail accomplis par leurs derigent!