NEW YORK (TAMURT) – La gifle donnée par Poutine à Tebboune est plus qu’humiliante pour Alger. Rappelons que le ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, lors du dernier sommet de BRICS, tenu le mois passé, en Afrique du Sud, avait affirmé à la presse que « seuls les pays qui ont un poids politique sur la scène internationale sont acceptés au BRICS ».
Le dossier algérien a été rejeté au moment où celui de l’Éthiopie a été accepté par la Russie. Le coup était fatal pour l’Algérie. Tebboune a été tourné à la dérision même par les Algériens. La Russie a rappelé à Tebboune que l’Algérie est un pays très faible sur tous les plans. Une réalité. La Russie avait raison de le souligner.
Ne sachant pas quoi faire, l’Algérie commence à faire des mains et des pieds pour se rapprocher des USA. A de l’assemblée générale qui se tient en ce moment à Washington, le ministre des Affaires étrangères américain à affirmé que son pays » soutien la politique étrangère algérienne et surtout ses décisions prises au Conseil de sécurité », dont fait partie l’Algérie en tant que membre non-permanent.
La déclaration du ministre américain n’est guère fortuite. L’Algérie a certainement cédé encore des puits de pétrole aux multinationales américaines, dans le Sud algérien, en contrepartie de ces quelques louanges américaines.
À vrai dire, la diplomatie algérienne est habituée aux échecs, sur la scène politique internationale. Les Algériens veulent jouer dans la cour des grands, mais en fin de compte, ils ne trouvent même pas de place dans la cour des petits.
Idir Yatafen
L’humiliation suprême de l’Algérie à travers son président c’est l’heure tardive de son passage a l’ONU devant une salle quasiment VIDE. QUE les médias algérien n’ont pas osé montré ! ….
C’est curieux comme même que Washington flirte avec ce régime à la nord corian!!!
Vivement que poutine va leur payer la trahison
l’Algérie n’a toujours pas diversifié son économie, n’a toujours pas développé d’autres secteurs économiques comme l’industrie, l’agriculture, le tourisme, le tertiaire, ses infrastructures et elle est toujours très dépendante de la rente des hydrocarbures qui lui rapportent encore plus de 90% de ses recettes. Quand les pays d’Europe du sud qui sont ses principaux clients, se seront totalement affranchi de leur accoutumance aux énergies fossiles au terme de leur transition vers les énergies propres, l’Algérie s’effondrera alors sur elle-même comme un château de cartes et ses dirigeants autoproclamés aussi incompétents qu’illégitimes avec elle.