Les accidents de la circulation continuent à faire des victimes sur les routes. Chaque semaine à son lot de morts et de blessés. La liste de la victime ne cesse de s’allonger. Les chauffards commettent des carnages.
Une fillette âgée de 4 ans a été percutée en fin de journée au village Timizart N’Sidi Mensour, commune de Timizart, (45 km au nord-est de Tizi-Ouzou), par un chauffard. La victime, selon une source locale, était devant le portail de leur domicile lorsqu’une voiture qui roulait à vive allure a fauché la petite fille. L’enfant a laissé sa vie sur le coup. Elle a été écrasée et défigurée au point où ses proches n’ont pas pu la reconnaître.
Son corps a été retrouvé à plus de 100 mètre du lieu de l’accident. L’auteur de ce crime, ajoute notre source, n’a même pas pris le soin de s’arrêter. Il a pris la fuite laissant derrière lui le corps sans vie de la fillette. La nouvelle a fait le tour de la région. Certains villageois ont essayé de retrouver le fugitifs criminel, mais sans succès.
C’est la consternation générale à Timizart. La tristesse et la colère a envahi les esprits des habitants de la région. Les services de sécurité ont diligenté une enquête dans l’espoir de mettre la main sur le chauffard.
Les accidents de la circulation se multiplient à Tizi-Ouzou. Les raisons sont multiples. L’excès de vitesse, selon les services de la protection civile, est à l’origine de plus de 90% des accidents de la circulation meurtriers.
R. Moussaoui
Conduire en Algerie c’est signer en avance son acte de deces: des khorotos qui arrivent a avoir une voiture font la terreur sur la route ne respectont ni le code ni montrent une grain de decence humaine. Civisme inexistant, courtoisie sur la route inexistante. Quand ayx flics ils sont inexistant sur la route.
Quel acte de lacheté que de faucher la vie d’une petite fille de 4 ans, toute innocente, toute naïve et totalement confiante vis-à-vis des adultes. Le chauffard n’a même pas daigné s’arrêter et assumer son geste comme un homme responsable. Non, il a fui car il est lâche.
Ayant moi-même un enfant presque du même âge, je peux très bien imaginer la douleur indescriptible et inconsolable des parents. Asen-d-yazen vav igenwan afud d tevghest.