Ali Belhadj salue l'assassinat de Mouhamed Boudiaf

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ALGER (Tamurt)- Le chef terroriste Ali Belhadj a choisi la date de l’anniversaire de l’assassinat de Mouhamed Boudiaf, le 29 juin, pour aller jusqu’à saluer sa mort. Le chef terroriste a poussé le bouchon trop loin. Dans une vidéo de plusieurs minutes  qui circule sur les réseaux sociaux, l’ancien numéro deux du FIS a dénigré Mouhamed Boudiaf.

Devant ce prêche incendiaire, les fidèles ont approuvé ces paroles indignes. Pour le moment aucunes autorités n’a réagi. La réaction d’Ali Belhadj a provoqué une onde de  choc chez les démocrates, mais il n’a dit que ce que la plupart des Algériens pensent.  A vrai dire ce n’est pas seulement les islamistes qui n’aiment pas Boudiaf, mais la plupart des Algériens ne portent pas dans leur cœur ce monsieur qui a tout donné pour l’Algérie.

Mouahemed Boudiaf n’est estimé qu’en Kabylie, bien qu’il n’est pas Kabyle. D’ailleurs, y avait que Matoub Lounès qui lui a rendu hommage à ce jour. Pour les Algériens, ils préfèrent Boumediène ou Benbella. Reste-t-il un espoir pour la Kabylie avec une Algérie qui salue l’assassinat de l’un de ses libérateurs? Certainement pas. Ali Belhadj qui jouit d’une liberté d’activité politique est responsable de la mort de plus de 250 000 d’Algériens. Lui et les généraux bien sûr. Sa place est en prison dans les pays ou la justice a sa place.

Ravah Amokrane

18 Commentaires

  1. Depuis la fameuse loi d’arabisation des trois paliers de l’enseignement, le secteur de l’éducation a été infecté par les intégristes, islamistes terroristes.
    Ils ne céderont jamais c’est leur fonds de commerce, d’ailleurs le F.I.S. n’aurait jamais gagné les élections sans l’école et les mosquées…. !!!
    L’entrisme, à été toujours la ligne de conduite des frères Musulmans (frères chayatines) que ce soit en Egypte pays qui les a enfanté ou en Turquie, ou en Algérie, ils ne changeront jamais, ce sont les OMEYADES du XXI Siècle..!
    En effet, Les pratiques politiques des islamistes Algériens s’inscrivent dans la pure stratégie de MUAAWIYA IBNU ABI SUFIANE, dans ses trois guerres de FAUTEUIL avec l’imam ALI, qu’il à d’ailleurs toutes perdues.
    Notant que MUAAWIYA est le premier qui a introduit la politique (le mensonge) dans l’islam et bizarrement la devise de MUAAWIYA dans ses guerres avec l’imam ALI « EL-HARB KHIDAA » a été reprise par ABASSI MADANI dans une émission de télévision en 1989.
    Enfin les islamo-baathistes ont détruit l’IRAK, la SYRIE, la LIBYE, et bientôt l’Algérie… !!! Bon entendeur salut.

    En 1991, les Algériens étaient appelés à choisir entre la PESTE le « P.F.L.N » et le Choléra « F.I.S » deux faces d’une même monnaie, d’ailleurs le F.I.S, est le fils illégitime du P. F.L.N.
    Ait-Ahmed avait parlé du choix entre un Etat policier et un Etat religieux….!!!

    • Boudiaf est estime par non pas la kabylie mais seulement les militants du Rcd , de quelques berberistes autonomes l’epoque .dire que le ffs et toute la kabylie l’estimait est aller trop vire en …

  2. Boudiaf et ses pairs ont contribué à libérer le pays, ont mal négocié le dernier virage de l’indépendance, ont permis malgré eux la confiscation de l’indépendance par des dictateurs, ont préféré, pour certains, l’exil doré que de s’opposer concrètement. Entre temps les chwakers du pays ont enfoncé le pays dans l’abime des ténèbres et qui vient à leur secours, une de leur ancienne victime Feu Boudiaf himself. Cherchez l’erreur. Boudiaf qui avait échoué en 1962, qui ne s’est pas opposé concrètement au pouvoir, n’avait pas à s’opposer au choix du peuple en 1992. C’est comme dirait l’autre anti démocratique. Quant aux démocrates que vous évoquez ça et là, de grâce cessez de dire n’importe quoi qui heurte sensiblement les honnêtes citoyens de ce pays. La preuve est faite par mille qu’il n’existe pas en Algériede démocrates au sens noble et universel du terme. Ce pays n’est composé d’une junte militaire, de faux politiciens véreux, corrompus et incompétents, de trabendistes de la chkara, de voyous et de bandits notoires, d’islamistes opportunistes et sournois et d’un semblant de peuple. Bien qu’étant de culture laïque, je ne peux ne pas admettre des évidences que personne ne peut nier à savoir que Ali BENHADJ était (est-ce toujours le cas) par le passé adulé par le peuple et que le personnage même s’il n’est pas un fin politique n’en demeure pas moins qu’il dit tout haut ce que le peuple pense tout bas. Il faut savoir ce qu’on veut, où on respecte les choix du peuple auquel cas on fait honneur à la démocratie où on se range derrière les bidasses et dans ce cas là on assume toutes les dérives. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. Feu Boudiaf avait commis la fatale erreur de secourir la junte militaire au pouvoir alors qu’elle était sur le point de sombrer. Par ailleurs, ingratitude oblige, tous les Algériens, Kabyles compris, étaient et le sont toujours indifférents au sort de ce grand Homme. Chaque peuple mérite ses dirigeants. Le plus terrible dans cette affaire c’est que même son propre fils renonce à connaitre la vérité de son assassinat. Heureux sont les morts dans ce pays et qui reposent désormais en paix. Amen.

    • Boudiaf n’a pas choisi l’exil doré, il y était contraint, s’opposant au régime Ben Bella il était condamné à mort et de son exil il continuait malgré tout, d’activer dans le politique par amour pour sa patrie. Alors entre un homme mort ou un homme exilé, le choix de ce dernier est légitime.

  3. Une vermine qui mérite d’être trucidée, avant de rejoindre l’enfer.
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    J’ai pleuré Boudiaf ; un homme vertueux maintenu au dessus des bas-fonds avilissants qu’il s’apprêtait à mettre au grand jour, on ne lui a pas laissé le temps.

  4. Ce Belhadj n’est pas un Algérien; c’est un Tunisien ramené par son oncle, lui et son frère, à l’âge de 7/8 ans. Le problème de ce pays et qui le mène à sa ruine, c’est qu’à chaque fois c’est des étrangers nés à l’étranger qui prennent le pouvoir ou tentent de le prendre au détriment des autochtones.

  5. Que l’on croit ou pas à la possibilité de bâtir une nation de liberté et de justice sur les fondements d’une entité coloniale comme l’Algérie par exemple, il faut savoir que les islamistes ne reconnaissent pas la notion de nation. Déjà que les islameux n’ont rejoint, à reculant, la guerre anticoloniale que fin 1956. Comme toujours, par pur opportunisme, après avoir chanté la servitude au colonat et l’assimilation. C’est pour services rendus que en Occident les bichonne encore aujourd’hui en offrant un peu de respectabilité aux féodalités du Moyen Orient et d’Afrique du Nord. Ce n’est pas pour rien que les média et les courants de pensée officiels dans le monde qui compte relaient la propagande officielle de « Maghreb arabe », de « musulmans de France ou d’Europe » combien même l’émigration nord africaine est essentiellement amazighe (pour des raisons économiques et historiques), et que la pratique religieuse amazighe allie la religion des ancêtres aux religions venus d’Orient, notamment l’islam.

    Quoiqu’il en soit, objectivement, les islamistes sont les ennemis aussi bien des nationaliste kabyles que de ceux qui croient à la possibilité de faire l’Algérien française une Algérie des nord africains comme Mass Boudiaf.

  6. Si Boudiaf était rester dans sa briqueterie il n aurait jamais eu des funérailles d un président la junte aurait souffert beaucoup plus pour se maintenir au pouvoir et peut être que le peuple n aurait pas perdu 200000 âmes par la faute des opprtunistes de tout bord.

    • « avec des SI on aurait un monde parfait »…
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      Boudiaf et l’appel au devoir et à la concrétisation d’une frustration idéologique ruminée ; avec un élan louable conduisant tout droit à une destinée tragique, le SI ne passe pas, Boudiaf ou pas Boudiaf, le pays est soumis à une impasse immuable et le « sésame, ouvre-toi » vers le salut n’est pas pour demain tant que les racines du mal sont vivaces.

  7. Que du mensonge ce site, ça pue la mauvaise foie, franchement dire que la plus part des algeriens n’aiment pas Boudiaf prouve que vous êtes sûr une planète lointaine ou bien que vous êtes la pour créer de la haine, vous parlez tout le temps de la liberté et de la démocratie mais vous ne connaissez qu’une seule liberté, celle de mentir et de créer la haine, une chose que je peux vous assurer, L’ALGÉRIE COLONIALE QUE VOUS N’AIMEZ PAS, NE VOUS AIME PAS NON PLUS

    • Nous, nous n’avions jamais porté dans nos coeurs un président âne !. Excepté un seul, monsieur farhat Abbasse. Nous avons toujours considéré que cette pseudo et foutue république arabo- islamique sonnerait la fin des derniers irréductibles autochtones que nous sommes!….Alors, pour nous kabyles viscéralement attachés à ce que nous étions et somme depuis l’aube de l’histoire, cette Algérie est nôtre tombeau.

      • Les vampires de l’Algérie colonisée, les auteurs de la pire barbarie au monde universellement connue….vous les ADULEZ !
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        Votre idéologie est légitime, mais elle est ternie par l’illégitime !

      • Tu serais plus crédible Diana si tu utiliserais le je au lieu de nous ,tu n es pas je crois, mandaté par les kabyles pour parler en leurs noms.??

    • Tant mieux et raison de plus pour nous séparer sans point de retour.
      Allez sur algeria watch pour vous documenter sur votre état colonial et vous verrez que l’ex état colonial était un saint devant ce que les vôtres actuellement font subir aux vôtres.
      Si vous doutez, recherchez les crimes et tortures que votre chef de drs tartag et ses sbires ont commis, faut peut-être qu’on en arrive à vos enfants ou proches pour vous ouvrir les yeux

  8. Le commentaire de « Pauvre algérien » et le mien, c’est bonnet blanc et blanc bonnet…alors pourquoi ?…par griefs ?… publiée tant mieux, non publiée… je m’en fous royalement.
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    Par rapport aux choix des commentaires filtrés je vous trouve bizarre…très bizarre

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